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Premiers émois (ft Anne-Lise)

Anonymous
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Profil Académie Waverly
Premiers émois (ft Anne-Lise) EmptyJeu 29 Aoû - 11:55
Martin galopait à perdre haleine en plein coeur de la forêt anglaise.

Il avait passer la nuit à chasser avec le reste de sa meute et l’excitation de la chasse n’était pas encore retombé malgré que les premières lueurs du jour pointaient déjà à l’horizon.
Comme il faisait encore partit des plus jeune loup de la meute, pleins d’énergie à revendre, il s’était éloigné et avait continuer à courir en solitaire.

Sa course le mena plutôt loin du camp et il finit par se retrouver sur des terres qui n’appartenaient pas à Elliot. Ce n’était pas très intelligent de se part de se perdre sur des terres sans doute habitée mais il était curieux et il avait souvent écouter ses frères et soeurs raconter leurs aventures d’explorateur. Lui aussi, avait envie de découvrir de nouveaux lieux sous sa forme de loup.

Il huma l’air autour de lui et renifla le sol à la recherche de nouvelles odeurs encore inconnue pour lui.

Ses pas le menèrent à une grande bâtisse. Vu la taille, c’était très certainement des nobles. Il s’aplatît au sol, à l’affût du moindre bruits. Il ne voulait pas que des humains ne l’aperçoive, ce serait catastrophique. Généralement, on appréciait pas trop les loups. Il était plutôt évident qu’il aurait fallu qu’il fasse machine arrière à cet instant mais sa curiosité était bien trop forte et il fit le tour de la propriété le plus discrètement possible.

Il était encore tôt mais il y avait déjà de la vie dans la propriété, notamment des serviteurs qui s’occupaient à leur tâche matinale pendant que les nobles dormaient encore.

Il les observa longuement en restant discret. Il ne s’approcha pas des écuries car il savait que ça risquait de faire paniquer les chevaux.

Martin vivait avec des anarchistes et il avait appris à penser comme eux. De base, il n’aimait pas les nobliaux qui jetaient leur argents par les fenêtres pendant que des enfants mourraient de faim mais en même temps, quand on voyait la vie qu’il menait, à savoir vivre dans des grandes maisons comme ça, manger dans une vaisselle brillante, portée des vêtements élégants, se faire conduire en voiture tiré par des pur sangs d’un lieu à l’autre, manger de la nourriture de premier choix, avoir des serviteurs à ses ordres, … tout ça ça donnait envie. Jamais il ne l’aurait avouer à ses frères et soeurs mais depuis qu’il avait porter les vêtements qu’Isabel de St-Gil et qu’il avait prit un bon bain comme-ci il était une personne riche, il s’était mit à envier le beau peuple.

Attention ! Il ne disait pas qu’il n’aimait pas sa vie actuelle, loin de là. Il aimait beaucoup la liberté de mouvement que lui offrait la vie à la meute d’Elliot. Il n’avait d’ordre à recevoir de personnes si ce n’est de son alpha et les lois du monde des hommes ne le touchaient pas. C’était assez libérateur. Il n’était pas encore près à troquer sa liberté de jeune loup contre des beaux vêtements et une belle maison.

Il continua à observer la maison. Il s’était coucher dans l’herbe et baillait presque. Ce n’était pas très très intéressant au final. Quand il se mit distraitement à essayer de choper une mouche au vol, il se dit qu’il était rester trop longtemps coucher à ne rien faire et qu’il était temps de quitter les lieux.

Alors qu’il se leva et s’étira pour dégourdir ses pattes, la porte principale du château s’ouvrit. Il se raplatit au sol dans les buissons même s’il y avait peu de chance qu’on ne l’aperçoive de là où il était et observa les gens qui venaient de sortir. Des nobles au vue de leur tenue. Parmi eux, il y avait une jeune fille. Et Martin n’avait jamais vue de filles aussi belle.