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Valentine Ada Byron • « But without the dark we'd never see the stars. »

Anonymous
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Profil Académie Waverly
Valentine Ada Byron • « But without the dark we'd never see the stars. » EmptyMer 27 Mar - 16:52
Valentine Ada Byron • « But without the dark we'd never see the stars. » Sans_t11

Valentine Ada Byron

ÂGE ─ 28 ans
ANNIVERSAIRE ─ 3 Novembre
ORIENTATION SEXUELLE ─ Bisexuelle (mais par respect pour son défunt mari qu'elle aime encore, plutôt lesbienne)
OCCUPATION
PAYS ─ France
CLASSE SOCIALE ─ Noble, baronne (ou Bas-Noble si ce n'est pas possible)
RACE ─ Humaine
AVATAR ─ Artiste inconnu pour l'avatar & galerie exellero (ArtStation) pour toutes les autres images

Profil Psychologique

Il est plutôt difficile de décrire le caractère d’une personne d’un seul point de vue. Il n’y a pas de vérité absolue et il s’agit là d’une donnée très subjective. On agit pas de la même façon en fonction de notre interlocuteur, de notre humeur, des choix qui nous font évoluer sans cesse. Un, personne et cent mille. C’est à supposer qu’on ait tous une essence propre de base, quelques traits qui nous définissent peu importe le contexte et le public que nous avons, quelque chose qui nous rend reconnaissable et nous distingue des autres, permettant à nos proches de nous reconnaître même au milieu d’autres gens. Et je ne parle pas là de reconnaissance physique mais bien des aspects mentaux de notre personne. De plus, il est important de vous décrire cette femme de la manière la plus juste possible pour qu’il n’y ait pas d’égarement, mais aussi de conserver assez de mystère pour qu’il reste de la surprise dans les histoires qu’elle a encore à vivre. Alors il s’agira de dresser le portrait le plus objectif possible de Valentine, de me placer en narrateur neutre et de vous résumer par quelques grands traits la personnalité de cette demoiselle.

Certaines valeurs sont plus faciles à donner à quelqu’un de façon objective. L’intelligence et la culture par exemple : on ne peut nier que Valentine a reçu une éducation plus que correcte et que sa passion pour l’apprentissage l’a poussé à se cultiver dans tous les livres et autres sources de connaissance à sa portée. Elle est intelligente, comme femme. Elle comprend le monde qui l’entoure et reste alerte aux informations et aux signaux de l’extérieur. Rapidement elle apprend, enregistre, analyse ; sa curiosité démesurée la poussant encore plus loin dans cette direction. Le langage et la communication sont pour elle à la fois des moteurs de vie et des armes de protection contre le monde. Car même s’il lui est difficile aujourd’hui de côtoyer de gens avec qui cela est possible et d’accorder assez d’importance aux êtres qui l’entourent, Valentine était autrefois du genre à aimer les longues discussions intenses qui durent pendant des heures.

Il faut dire que notre jeune femme est une personne passionnée. Dans ses activités favorites, sur les sujets qui lui tiennent à cœur, en amour, dans l’acte de chair et pour à peu près tout ce qui l’intéresse réellement. Autant il est difficile de lui faire exécuter une tâche ou une mission qu’elle ne cautionne pas, autant si elle aime ce qu’on lui propose elle y mettra toute son âme. C’est d’ailleurs une façon de vivre qui peut la mettre en situation délicate, car retirez-lui les choses qui lui sont les plus chères et alors toute la passion qu’elle y avait mis se transformera en tristesse intense. La nostalgie n’est jamais loin derrière les pas de Valentine ; le regret et la mélancolie font partie d’elle comme l’écorce qui se construit autour de l’arbre. Et même si avec le temps et l’expérience il devient plus facile pour elle de se relever pour faire bonne figure et de ne rien laisser paraître en société, la douleur ne disparaît jamais complètement et ressort parfois dans des moments d’égarement ou de solitude.

Cependant, Valentine n’est pas fondamentalement d’une nature à se laisser abattre. Et même si l’humaine peut faiblir et perdre confiance en tout ce qui l’entoure, il lui reste une flamme de volonté pour l’empêcher de sombrer complètement dans l’isolement. Cette détermination qui lui est propre la pousse à se relever quoi qu’il arrive et a endurcit sa personnalité au point d’en faire une femme de caractère qui ne se laissera pas piétiner sans se battre, et je ne parle pas seulement physiquement mais plutôt psychologiquement. Car lorsqu’on combine la passion qui l’habite et les souffrances qui l’ont rendue méfiante, on obtient une nature joueuse qui ne demande qu’à être libérée à son plein potentiel. Quoi de mieux pour se souvenir qu’on est en vie que de se brûler encore et encore les ailes en plongeant dans un jeu qui la dépasse, qui lui fait ressentir des sensations intenses comme l’extase, le plaisir, l’adrénaline, l’amour, le danger et l’insouciance. Le prix a payer en douleur est certes considérable, mais c’est le risque a prendre pour se sentir en vie rien qu’un instant, puisque sans l’espoir de retrouver un jour ces sensations extatiques, Valentine se laisserait mourir sans hésiter.

Néanmoins, ne vous avisez pas de lui faire du mal trop gratuitement. Car elle est peut-être joueuse dans l’âme, mais surtout mauvaise joueuse dans les faits -sûrement un problème d’ego, c’est un trait humain après tout. Oh ce n’est vraiment pas la pire dans son domaine... Et puis elle a assez de patience pour excuser certaines choses, pour laisser couler certaines attitudes. Mais si vous la piquez vraiment profondément, que la trahison est trop lourde à supporter, vous pourriez bien découvrir une façade rancunière, une version de Valentine qui déploiera beaucoup d’énergie et de temps rien que pour se venger de vous de la pire des façons.
Histoire

L’enfance de Valentine ne nécessite pas de s’étendre longuement sur la question. Il est possible de résumer en l’espace d’un seul paragraphe ce qui concerne sa vie avant ses dix-huit ans. Elle est née dans une famille plus aisée que les gens du peuple mais pas suffisamment pour faire partie de la haute noblesse. Sa famille était responsable d’un grand domaine où se trouvait un haras qui faisait leur notoriété. Elle reçut une éducation scolaire importante car sa mère souhaitait en faire une femme influente, et une éducation pour bien se tenir en société car son père désirait la voir se hisser dans de plus hautes sphères sociales et d’être bien maniérée. Et puis une éducation cavalière pour éventuellement reprendre le flambeaux derrière ses parents. Aucun incident majeur ne survint dans sa vie avant sa majorité ; rien de plus que les soucis d’une enfance tranquille. Des bleus aux genoux à force de jouer dans les écuries, des jouets cassés à force de trop les user en compagnie des autres enfants, la tristesse de perdre son animal de compagnie, les rires dans la forêt qui renaissent au printemps.

« Certain fument, d’autres boivent et d’autres tombent amoureux. Chacun se tue à sa manière. »

C’est à partir de ses dix-huit ans que Valentine commence réellement à fréquenter les bals et autres événements en compagnie de la haute société. Non pas qu’elle n’ait jamais accompagné ses parents dans ce genre d’endroits auparavant, mais elle n’y avait pas vraiment prêté attention jusque là et se contentait généralement de suivre sa mère et de sourire poliment comme on le lui avait appris. Mais en grandissant, elle y trouva un intérêt et prit de plus en plus de plaisir à se rendre dans ce genre de rassemblements. Elle pouvait y rencontrer beaucoup de gens différents, avoir des discussions sur tout un tas de sujets passionnants. D’une certaine façon, elle avait l’impression que sa place était dans cette haute sphère de la société. Mais c’est parce qu’à cette époque-là elle n’avait pas encore conscience de qui étaient vraiment ces gens. Avec ses yeux naïfs, elle n’y voyait encore que le côté luxueux, cultivé, érudit et raffiné de la noblesse.

C’est à cette même période qu’elle rencontra Charles de Montémont, un jeune noble devenu récemment le baron de Montémont suite au décès de ses parents. Ils furent amenés à se fréquenter plusieurs années avant de réellement en venir au fait : c’est à supposer que chacun des deux désirait profiter de sa jeunesse et se faire un peu d’expérience plutôt que de se précipiter dans l’engagement. Détester un peu les sentiments et subir des peines de cœur. Et puis se rencontrer à temps, pour ne pas oublier de laisser une chance à l’amour. Car même si depuis le départ les deux se plaisaient, ils n’avaient pas réellement conscience de cette réciprocité et il fallut attendre que le temps leur permette de passer plus de moments ensemble en petit comité pour remarquer leur désir mutuel et leurs points communs. Ainsi le jeu de la séduction commença pendant plusieurs mois jusqu’à ce que par une froide nuit d’hiver ils se décident à se déclarer leur amour.

Leur flamme était forte, sincère, si bien qu’ils décidèrent d’officialiser leur union malgré le rang social inférieur de Valentine, ce qui fit jaser quelques temps les commères de la noblesse. Leur mariage fut magnifique et la vie s’annonçait fabuleuse pour la jeune femme devenue baronne de Montémont aux côtés de son tendre époux. Mais son illusion ne dura pas éternellement et même si son amour pour Charles continuait de grandir, elle ouvrit les yeux peu à peu sur la société et sur ses vices. Ces gens qu’elle voyait comme des personnes intéressantes et sociables n’étaient finalement que de fins menteurs et de bons acteurs. La vitre d’illusions bienveillantes qu’elle avait conçu dans son esprit se brisait, laissant couler par ses fentes toute l’hypocrisie et la médiocrité de son entourage. Les gens n’usaient de gentillesse avec les autres que pour leurs propres fins : ici le jeu politique avait une place très importante et le monde raffiné qu’elle s’imaginait et qu’elle avait cru fréquenter s’avérait être un monde de dangers et de mensonges pour gravir les échelons et écraser les adversaires.

Mais un jeu encore bien plus dangereux se tramait tout autour d’elle, tout autour d’eux, partout dans le reste du monde. Un jeu de prédateurs et de proies. Un jeu de chasseurs sanguinaires et de victimes malheureuses.

Les années passèrent et Valentine devint méfiante avec les gens. Elle réalisa que les amis étaient une chose rare et la confiance encore plus. Elle commença à douter de tout et de tout le monde, mais elle était encore un peu naïve et se laissait parfois berner par des gens en qui elle plaçait son amitié ou son affection. Mais plus le temps passait, plus elle se renfermait. C’est son amour pour Charles, si pur, qui lui permettait de se souvenir qu’aimer n’était pas toujours vain. Alors elle essaya de se prêter au jeu de la société, de devenir comme ces nobles qu’elle méprisait, mais elle ne parvenait pas à s’y faire et petit à petit elle s’isola au point de n’avoir plus que son époux comme compagnie sincère. Ce dernier se rendait encore aux événements de la noblesse ; après tout il avait un titre de baron à entretenir et il ne dépréciait pas le rôle qu’il avait à jouer dans la haute société.

« Mais la vie sépare ceux qui s’aiment. »

L’incident arriva alors que Valentine atteignait ses vingt-cinq ans. Une nuit, elle fut réveillée par les cris d’un domestique ayant trouvé son mari étendu sur le sol de l’entrée, couvert de sang. Charles rentrait d’un bal annuel situé dans un château non loin d’ici, mais sa route du retour avait croisé celle d’un lycan en pleine chasse qui avait laissé son corps dans un état déplorable. Le jeune homme s’en était tiré de justesse avant les blessures fatales en s’accrochant au seul cheval encore en vie qui avait réussi à se détacher de la calèche d’où le cocher déchiqueté pendait par le bras. L’équidé avait ramené Charles jusqu’au château où, usant de ses dernières forces, il s’était hissé jusqu’à l’entrée principale. Valentine avait d’abord cru à sa mort, mais son époux respirait encore et on fit venir un médecin le plus vite possible. Les jours qui suivirent furent les plus longs de son existence. Si son mari ne survivait pas à ses blessures… Elle préférait ne pas y penser. Elle restait à son chevet jour et nuit, si bien qu’elle put remarquer la vitesse impressionnante à laquelle le corps guérit une fois que les premiers jours de fièvre intenses furent passés.

Lorsque Charles fut en état de parler et de se lever, il raconta ce qui lui était arrivé, mais le récit était flou. Le jeune homme semblait troublé au-delà même du choc de l’agression. Il semblait cacher quelque chose et avait été bien trop vague concernant la description de son agresseur. Comment un simple humain, même armé, aurait pu lui infliger de tels dégâts aussi sauvagement ? Valentine se mit à faire des recherches avec beaucoup d’intérêt pendant les semaines qui suivirent. Et si les mythes dont elle avait eut vent parfois à la Cour étaient vrais ? S’il existait réellement des gens cachés parmi les humains qui n’étaient autres que des monstres de sang dissimulés parmi les brebis ? Valentine ne pouvait pas croire à la théorie des vampires et des lycans. Ça ne pouvait être que des légendes inventées pour justifier des massacres ou des prises de pouvoir un peu trop suspectes…

Mais la jeune femme dut rapidement se rendre à l’évidence lorsque la première pleine lune arriva et qu’un monstre de fourrure aux dents acérés prit la place de son mari et essaya de la tuer tandis qu’elle s’échappait à cheval vers le refuge le plus proche. Elle ne revint dans leur domaine que le lendemain matin pour y trouver un massacre de domestiques et son mari effondré. Ce dernier ne pouvait supporter les horreurs qu’il avait commises la nuit précédente ni cette chose qui le possédait désormais. La dépression s’empara de lui à toute allure et il ne fallut que quelques semaines pour qu’il décide de mettre fin à tout cela.

Son amour pour Valentine était si fort, si inconditionnel, que le fait d’avoir failli la tuer était insurmontable pour lui. Il refusait de la mettre en danger et savait qu’il ne pourrait pas vivre avec la mort de sa bien-aimée sur la conscience. Alors une nuit, il quitta le lit conjugal pour se rendre dans les jardins où il s’arrêta un instant sur un banc. Valentine l’avait suivit discrètement, inquiète pour son mari et ne trouvant plus le sommeil depuis l’incident. Son hurlement trancha l’air lorsqu’elle vit son mari dégainer son épée et poser la pointe contre son propre ventre.

« Non ! »

Hurla-t-elle en se précipitant dans sa direction. Mais la lame avait déjà transpercé le corps de Charles dont le regard semblait à la foi terrifié et désolé. Il n’aurait pas voulu qu’elle voit ça, il savait qu’elle ne l’aurait jamais laissé se sacrifier pour sa sécurité. Son corps s’écroula au sol, suivi par l’épée dont le bruit du métal résonna en tombant. Valentine se jeta à genoux pour serrer Charles contre sa poitrine. Les larmes dévalaient ses joues tel un torrent infini de tristesse tandis qu’elle caressait tendrement les cheveux de son époux.

« Pourquoi Charles… Pourquoi ?

-Je l’ai fait… pour te protéger… Pardonne-moi. »

Murmura-t-il d’une faible voix.

« On aurait pu trouver une solution, on aurait pu trouver, Charles, on aurait pu… »

L’homme joint ses doigts à ceux de Valentine posés sur sa plaie et ferma les yeux. Elle l’embrassa, pleurant toujours plus fort, et resta ainsi avec le corps dans ses bras jusqu’à ce que les domestiques la trouve et fassent le nécessaire.

« Et nous remplaceront l’amour de ce qui nous manque par la haine de ce qui nous reste. »

Les mois qui suivirent ne furent que noirceur et colère. Valentine renvoyait ses domestiques un par un durant chaque excès de rage, pleurait seule dans sa chambre ou dans le bureau de Charles, oubliait petit à petit ce qui avait fait d’elle une personne vivante et ne devenant plus que l’ombre d’elle même. Elle se réfugiait dans la lecture, s’abreuvait de poésie et ne se nourrissait plus que de cauchemars.

Baudelaire l’appelait le spleen,
Ma grand-mère l’appelait cafard
Et moi je ne l’appelle pas
Il sait venir tout seul


Elle s’isola de tout et finit par se retrouver parfaitement seule dans ce grand château devenu lugubre par tant de malheur. Quatre saison passèrent avant qu’elle ne décide de quitter cet endroit qui ne lui rappelait que trop bien sa douleur.

Durant quelques semaines, elle s’installa chez l'un des rares amis de son défunt mari en qui elle pouvait avoir un minimum confiance. Durant son séjour, ce dernier la convia régulièrement aux soirées de la Cour. Et même si l'envie n'y était pas, elle ne pouvait refuser ces invitations, par politesse pour son accueil et son aide. Petit à petit, elle sembla néanmoins trouver de nouveau de l’intérêt aux choses et découvrir un certain plaisir à s’amuser en société. Quelques temps après, elle décida même de s’installer à la Cour. Elle reprit le nom de jeune fille de son père et garda son titre de noblesse, devenant ainsi la baronne de Byron. Le château de son défunt mari était toujours en sa possession ; elle ne pouvait se résoudre à y habiter plus longtemps mais elle ne pouvait pas non plus imaginer s’en séparer.
Questionnaire

ÊTES-VOUS AU COURANT DE L'EXISTENCE DES VAMPIRES ET LYCANS?Oui.
QUE PENSEZ-VOUS DES LYCANS/VAMPIRESUn mélange de haine, de peur, de fascination et d'incompréhension. (Son ressenti vis-à-vis des lycans n'est pas développé dans l'histoire, mais c'est parce que j'ai plutôt envie de le développer en RP...)
ÊTES VOUS SATISFAIT(E) DE VOTRE VIE ACTUELLE? Sans parler d'être satisfaite, je commence à y trouver mon compte.
SI NON, QUE VOUDRIEZ-VOUS CHANGER?  ─ On ne peut pas ramener les morts à la vie, je n'ai pas besoin de me poser cette question.
VOTRE POINT DE VUE SUR LE MONDE CONNU?
Lugubre. Je hais les gens et toute l'hypocrisie qui les emballe presque autant que je commence à y prendre goût et à terriblement m'amuser.

Joueur

PSEUDO ─ Arrogant Mischief
ÂGE ─ 23 ans
SEXEénorme- Okay j'arrête cette vanne, j'suis un animal avec vagin.
LA COULEUR DE TON PYJAMA ─ J'en ai pas... :c
Anonymous
InvitéInvité
Profil Académie Waverly
Valentine Ada Byron • « But without the dark we'd never see the stars. » EmptySam 6 Avr - 10:52
Squalo ? C'est toi ? :o :o
En plus je constate que je suis la première à te souhaiter la bienvenue ici... étrange o/

Du coup bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche !
Anonymous
InvitéInvité
Profil Académie Waverly
Valentine Ada Byron • « But without the dark we'd never see the stars. » EmptyMer 10 Avr - 0:48
Hey ! Oui c'est moi, mais du coup tu es qui toi ? xD

Merci je prends du temps pour ma fiche mais avec les derniers devoirs à rendre et les partiels en approche c'est compliqué !
Anonymous
InvitéInvité
Profil Académie Waverly
Valentine Ada Byron • « But without the dark we'd never see the stars. » EmptyMer 10 Avr - 18:23
Ahah ! Je vais te laisser deviner sinon c'est pas drôle x)
1° Je ne suis pas un DC d'un des admin/fonda du forum (donc je ne suis pas Maria)
2° Le fait que je préfère dire "Maria" dans le premier indice (et non Alaude ou Valentino) est un indice en lui-même.
3° Le personnage de mon avatar sur ce forum (aka Naruto) a quelques points commun avec mon persos sur KHR.

Voilà pour les indices ;)

Sinon t'inquiète pour ta fiche car les partiels semblent toucher tout le monde ici, le forum est un peu vide ces derniers temps. (enfin, je dis ça mais je suis ni modo ni admin donc bon...)
Belladona E. Thorn
Belladona E. Thorn
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Âge du personnage : On ne demande pas son âge à une -vieille- femme..

Mémoire de vie
Race: Sang-pur
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Profil Académie Waverly
Valentine Ada Byron • « But without the dark we'd never see the stars. » EmptyVen 12 Avr - 23:04
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche :)
Beau choix d'avatar au passage ~ 
Anonymous
InvitéInvité
Profil Académie Waverly
Valentine Ada Byron • « But without the dark we'd never see the stars. » EmptyJeu 25 Avr - 22:01
TSUNAAAAAAAAAAZE ! <3
Oui avec les partiels là c'est pas possible de bosser une fiche, mais avec les grandes vacances ça devrait être beaucoup plus tranquille pour moi de ce côté-là !

Merci Belladona, j'aime bien ton avatar aussi il est très chouette ~
Belladona E. Thorn
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Valentine Ada Byron • « But without the dark we'd never see the stars. » EmptyMar 28 Mai - 23:33
Hello Valentine ! Pardonne moi pour ce retard bouboules

Laisse moi tout d'abord te dire que j'ai beaucoup apprécié la lecture de ta fiche, on va droit au but, l'écriture est propre et l'histoire de la jeune femme est assez déchirante elle aussi on ne peut que souhaiter à Valentine de trouver une meilleure voie après ce qu'elle a traversé et de l'autre côté on sent que c'est une femme forte.

Tu es validée amuse toi bien parmi nous. Te voilà désormais une NOBLE.
Tu peux dés à présent aller recenser ton avatar, chercher des partenaires de rp et poster une fiches récapitulative de tes relations que nous te conseillons d'aller consulter pour une intégration rapide.

Bien à toi,
Bella.
Philippe England Nightray
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Valentine Ada Byron • « But without the dark we'd never see the stars. » EmptyMer 29 Mai - 23:59
Ton perso est chouette dis donc ! Je te souhaite la bienvenue par ici mouton
Anonymous
InvitéInvité
Profil Académie Waverly
Valentine Ada Byron • « But without the dark we'd never see the stars. » EmptyJeu 30 Mai - 1:01
Merci beaucoup ça fait super plaisir !
Hâte de vous retrouver en RP ~
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