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Le Fil de l'âge [Pv : Hyrro]InvitéInvité | Sam 15 Juil - 13:55 si des choses ont toujours échappé au Vampire, il en est une qu'il a appris avec le temps. Il ne venait pas des terres où se trouvait son château. Alexander avait appris des livres qu'il avait sauvé à l'époque qu'il venait d'ici... pourtant, nul trace de son nom ou autre... celui ci ne dénotait même pas d'origine Suèdoise. Non. Mais pour les quelques Vampires qu'il avait pu reconnaitre et approché, ceux ci était très souvent mordu et aucun n'avait pu reconnaitre le sang pur et les origines de celui ci.
Bien que le temps ait effacé ses origines et l'envie de les retrouver, Le Vampire était aujourd'hui ici sur ces terres car sa mission diplomatique n'était pas terminé, établir des ambassades et faire connaitre la nation Russe était une tâche plus compliqué et plus étonnante qu'il n'y paraissait. Surtout lorsque la nation était une pratiquante de la religion catholique. Heureusement, le Palais n'était pas saint et sanctifié comme il avait pu le constater dans d'autres royaumes.
Observant les armes et les décorations, l'envie de lui aussi s'entrainer l'amusait, étancher une certaine faim qu'il n'était que peu. Ce serait intéressant de pouvoir affronter des adversaires à sa taille. Le regard se tourna sur une lame, joliment ornementé. Elle avait forgé il y a peu, rien qu'à l'esthétique de la garde. Il aimait bien les fleurets pour leur fluidité et cette protection pour la main... il se dit aussi qu'il devrait penser à acquérir un pistolet, ces armes étaient certes encore très jeune, mais il avait déjà pu les voir à l'oeuvre. Un avenir prometteur.
Il sentit alors une présence. Comme se sentant observé. lui. Il chercha des yeux, mais rien ne lui apparu sous le nez. | | InvitéInvité | Dim 16 Juil - 22:21
blod är tjockare än vatten Il était au Palais. Elle même naviguait en ces eaux depuis peu, mais elle l'avait croisé au détour d'un couloir, et depuis, elle cherchait un endroit où le rencontrer vraiment. Elle l'avait immédiatement reconnu. Il était de son sang, il était là, à portée de main. Il était peut être son héritier, peut être un vampire digne de son héritage. Peut être un outil, mais avant tout, il était sa famille. Une famille éloignée d'elle depuis bien trop longtemps.
Quand elle l'avait revu, il semblait être ailleurs, si bien qu'il n'avait sans doute pas remarqué sa présence. Elle le suivit, d'un pas presque distrait, laissant flotter sa robe derrière elle. Elle était seule. Domestiques et autres suiveurs avaient été semés ou envoyés ailleurs. Il était tout à elle. Tout à elle pour une durée indéterminée. C'était peut être le moment de le juger. Ou peut être pas. Elle demanderait bien sûr aussi son avis à sa délicieuse louve. Elle serait de bon conseil. Peut être qu'elle le chérirait, comme elle avait chéri ses enfants.
Il sembla finalement, enfin, reconnaitre sa présence. Elle sourit.
— ... vous aurais-je surpris, messire ? Veuillez m'excuser. Je me suis égarée, mais vous contempliez ces lames avec tant d'attention que je n'osai vous déranger.
Elle s'inclina comme c'était attendu de toute bonne dame de son rang, puis releva les yeux vers l'homme. Ils brillaient d'un éclat étrange.
— ... Oh, veuillez m'excuser, j'en oublie mes manières. Je me nomme Hyrrokkin Falhstrom.
Quel plaisir de pouvoir utiliser son vrai nom. Il avait disparu depuis bien des années, suffisamment pour qu'aucun humain ne se souvienne de sa précédente incarnation. Quelques artifices avaient été nécessaires pour modeler son existence à celle de ces êtres éphémères, mais grâce à son amante, le changement était passé plus qu'innaperçu. Pour tous, elle était Hyrrokkin Fahlstrom, une jeune noble un peu maladroite mais poussée par le destin à remplir la mission qui eut échu à son père. Ambassadrice... elle quitterait bientôt ce pays.
— Ces lames sont étrangement... captivantes, vous ne trouvez pas ? Je trouve cela un peu... effrayant. Mystérieux, même. Mais quel charme...
| | InvitéInvité | Dim 16 Juil - 23:03 Elle le surprit, apparaissant tel une présence fantomatique. Il en recula légèrement. Pour être ainsi surpris, soit il était décidément perdu dans ses pensées, soit elle n'était pas mortelle, cela le fit sourire et à son tour s'inclina reprenant toute sa consistance.
"Alexander Ghelal" fit l'homme en réponse au salutation. "Ces lames sont captivantes par leur beauté tel que j'aimerai en utiliser une ou deux pour en tester la solidité et la souplesse." Le Vampire posa à nouveau son regard sur une. "Elles ont leur charmes, mais certaines ne sont clairement que pure décoration, je trouve cela gâcher le travail de l'acier, ce que j'attends d'une bonne lame c'est qu'elle coupe un bras, perce une armure et déchire la chaire."
Le regard se posa à nouveau sur elle. "Etes vous une résidente des lieux milady ?, je dois vous avouer que depuis mon arrivé, un servant a essayé de me perdre en procédure quand je lui ai annoncé être l'émissaire d'un royaume... Je déteste le temps perdu..." Son regard se posa sur le cou de la femme, elle avait une peau parfaite, son regard monta à son sourire. Exquis, il était là face à une beauté sans pareille qui le fit sourire à son tour.
"Mais je ne pensais pas que les armes puisse ainsi vous captiver. Elles ne sont que des outils et ce n'est pas la lame qui fait l'homme, mais bien ce qu'il en fait" Alexander reposa son regard sur la fameuse lame, clé de la collection. "Je suis sûr qu'entre mes mains aucune de ces lames n'aurait eu le destin que leur détenteur leur à trouver." | | InvitéInvité | Lun 17 Juil - 19:52
— Alexander Ghelal.
Enchanté de faire votre connaissance, Mademoiselle. Vous êtes égarée ? Laissez-moi vous guider, où désirez-vous aller ? ... Mais non. Visiblement, son héritier avait été éduqué chez des rustres. Au lieu de cela, il s'épancha sur la beauté de ces lames. Un long monologue, peu intéressant et pas toujours très clair, sur leur inutilité ainsi présentées comme décorations. Certes. Elle aurait pu être de son avis si elle écoutait réellement ce qu'il disait. Etait-ce trop tôt pour le juger ? Certainement. Mais la première approche était loin d'être satisfaisante à ses yeux. Elle rejeta une mèche en arrière, pinçant les lèvres d'un air presque contrarié.
— Êtes-vous une résidente des lieux Milady ? Je dois vous avouer que depuis mon arrivée, un servant a essayé de me perdre en procédure quand je lui ai annoncé être l'émissaire d'un royaume... Je déteste le temps perdu...
Elle le regarda s'épancher sur les procédures lentes et s'apprêta à lui répondre, mais se ravisa en le voyant prendre à nouveau la parole. Avait-il une idée de son niveau d'impolitesse ? Mais soit. Elle le laisserait parler, et parler, et parler. Pourvu qu'il tarisse.
— Mais je ne pensais pas que les armes puisse ainsi vous captiver. Elles ne sont que des outils et ce n'est pas la lame qui fait l'homme, mais bien ce qu'il en fait. Je suis sûr qu'entre mes mains aucune de ces lames n'aurait eu le destin que leur détenteur leur à trouver.
Elle bomba légèrement le buste et avança d'un pas.
— Vous me semblez bien présomptueux, messire. A quel point me connaissez vous pour présumer de ce qui me captive ou non ? Mais j'ai l'impression de m'être trompé sur votre compte. Vous ne regardez point ces lames comme une oeuvre, mais comme des outils, des jouets pour enfant. N'auriez-vous qu'envie de guerroyer ?
Elle réajusta son châle luxueux sur ses épaules, d'un air peut être trop strict.
— Comme je vous le disais, je me suis perdue. Je ne suis donc pas résidente depuis longtemps, messire. J'espère pour votre esprit guerrier que vos réflexes sont plus rapides que votre réflexion.
Elle serra ses mains l'une contre l'autre à la hauteur de sa taille, adoptant une posture sereine mais maitre d'elle-même. Elle était déçue. Profondément déçue.
— Vous dites "Ghelal" ? Ce nom m'est inconnu. D'où venez-vous ? Quel royaume pourrait envoyer un homme comme vous en émissaire ?
| | InvitéInvité | Mar 18 Juil - 9:50 A son tour il écouta la femme parlé. Elle aussi faisant dans le monologue mais ne coupa pas la parole, elle avait une voix plutôt acceptable bien que ses yeux eurent envie de cracher des éclairs quand elle mit en doute sa capacité de réflexion. C'est elle qui avait dit qu'elle trouvait les lames captivantes... même charmante. Lui se moquait bien de l'art apporter dessus, ce qui était important, c'était qu'une lame soit efficace.
"Mes capacités de réflexion vont bien Milady Fahlstrom, votre nom aussi m'est inconnu, pourtant je vous pense plus suédoise que moi et peut être même plus noble que moi" Le regard se détacha totalement des armes pour rester concentrer sur elle.
"Si vous vous êtes perdu, je peux me faire une joie de vous raccompagner auprès d'un domestique qui vous montrera le meilleur des chemins, ou bien si la peur de vous perdre se faisait, je pourrais vous proposer de partir avec moi, ainsi nous nous perdrions à deux et vous auriez moins à craindre dans le palais royal ou un inconnu pourrait vous surprendre au détour d'une arcade" Le ton était presque moqueur, mais elle l'avait également un peu chercher.
"Je suis envoyé par son altesse la Tsarine et mère de toute les Russie, Natazia Ouzdal. Elle n'a pas du faire un bon recrutement, j'en suis conscient, mais elle n'avait que moi sous la main ce jour là, et puis la suède, ça devait être une sorte de punition je pense." Deuxième petite pique, lui n'avait pas apprécier d'être comparé à un guerrier brutal quand c'est elle qui parlait de l'intérêt pour la beauté captivante des lames.
"Alors ? Nous restons perdu ensemble ou nous partons à l'aventure dans les couloirs dangereux et probablement bondé de serviteur du Palais ?" | | InvitéInvité | Ven 21 Juil - 20:09
Il avait l'air en colère. Oh. Adorable. Un petit galopin grognon, voilà ce qu'elle devait choisir comme héritier ? Ah. La bonne blague.
— Mes capacités de réflexion vont bien Milady Fahlstrom, votre nom aussi m'est inconnu, pourtant je vous pense plus suédoise que moi et peut être même plus noble que moi.
Et ce nom lui était inconnu ? Elle pinça les lèvres. Que lui avait-on donc appris, pour qu'il ignore ce nom ? Son agacement s'intensifia. Mais peut-être n'était-il qu'un bon joueur, faisant mine de ne rien savoir. Précher le faux pour savoir le vrai, somme toute. Mais quelque part, au fond, elle doutait qu'il soit aussi malin que ça. Toute une éducation à refaire.
— Je suis envoyé par son Altesse la Tsarine et Mère de toutes les Russies, Natazia Ouzdal. Elle n'a pas du faire un bon recrutement, j'en suis conscient, mais elle n'avait que moi sous la main ce jour là, et puis la Suède, ça devait être une sorte de punition je pense.
Elle eut un rictus. Il était en train d'essayer de l'agacer ou s'acharnait-il à démontrer son immaturité ? Elle eut finalement un soupir. Elle n'avait même pas envie de répondre. Calypso lui manquait. Elle voulait la serrer dans ses bras, et peut être planter ses douces canines dans sa peau, et se délecter... uh...
— Alors ? Nous restons perdu ensemble ou nous partons à l'aventure dans les couloirs dangereux et probablement bondé de serviteur du Palais ?
Elle tira sur son châle.
— Assurément il s'agissait d'une punition, je ne vois pas bien pour quelle autre raison on vous aurait choisi. Essayer d'insulter le pays où l'on vient pourtant précher sa cause, n'est-ce pas un étrange moyen de procéder ?
Elle leva la main pour l'empêcher de répondre. C'était une question rhétorique.
— Je sais qui vous êtes, Alexander Ghelal, et je sais même probablement sur vous plus de choses que le tout venant. Je voulais voir de quoi vous étiez fait, et je dois avouer que je ne m'attendais pas à une telle débacle... Ah. Je suis déçue.
Elle ajusta sa tenue, et releva le menton, dardant sur son petit fils un regard presque méprisant.
— Aaah... le fils du crépuscule...
Elle croisa les bras.
— Profitons que cette pièce ne soit pas encore envahie de serviteurs ou que personne n'ait besoin de nous. Je dois quitter le pays bientôt, et je voulais m'entretenir avec vous. En privé. Sans faux semblants. Sans témoins.
| | InvitéInvité | Dim 23 Juil - 17:11 L'agacement du Vampire lui titillait fortement le dos mais il gardait son calme, la colère... cela faisait si longtemps qu'il ne l'avait plus ressentit. C'est ce que donnait le temps... être blasé en permanence. Comme ce sentiment d'avoir tout vécu, tout vu. Lui, il pouvait sûrement le dire, et ce genre d'impertinence, ne saisissant pas les traits d'esprits des autres mais s'en permettant... Ce n'était qu'une fois de plus le genre de personne qu'il aurait vider il y a quelques années en une minute pour qu'elle se taise.
"Taisez vous un peu, vous parlez beaucoup trop pour ne rien dire" Dit il alors que ses yeux rougirent et la dardèrent à l'entente des paroles sur le fils du Crépuscule. Elle montrait une carte de sa main, pas trop tôt, il se devait d'y répondre de son atout également, elle devrait dévoiler plus pour l'intéresser.
"Je me doute très bien de ce que vous êtes et je m'en moque. Vous n'êtes qu'une personne de plus sur ce continent et pas la dernière que je croiserais."
Alexander adressa un regard aux portes encore ouverte pour les visites des lieux par les nobles, une oreille quand aux pas que faisaient les serviteurs allant et venant, son nez sentant les parfums des dames, essayant d'oublier celui de sa partenaire, bien qu'elle envahissait déjà son nez.
"Que me voulez vous ?" Il ouvrit sa veste dévoilant une tenue d'apparat carmine ainsi que les armoiries personnels de sa maison, il n'avait jamais compris les origines de celle ci, ou son sens, mais c'était celle de ses parents et il le portait avec fierté. | | InvitéInvité | Lun 24 Juil - 14:32
— Taisez vous un peu, vous parlez beaucoup trop pour ne rien dire.
Elle haussa un sourcil. Comment osait-il lui parler sur ce ton ? La main se leva, et s'abattit sans prévenir sur la joue de son potentiel héritier. Peu d'êtres sur cette terre avaient le droit de lui parler ainsi, et il n'en faisait pas partie. Néanmoins il se montra suffisamment apte en saisissant son poignet immédiatement après la claque.
— Nulle personne n'est autorisée à me parler sur ce ton.
Elle serra le poing, et laissa planer le silence un instant, alors qu'ils se dévisageaient.
— Je me doute très bien de ce que vous êtes et je m'en moque. Vous n'êtes qu'une personne de plus sur ce continent et pas la dernière que je croiserais.
D'un coup sec, elle libéra son poignet agilement, et recula d'un pas. Elle entendait elle aussi les va-et-viens du monde civilisé, derrière eux. Leur entrevue serait certainement écourtée, mais tant qu'ils n'étaient pas importunés, autant profiter des quelques minutes qui leur restaient. Il ouvrit alors son manteau, et bien qu'elle ne saisit pas le but de ce geste, elle prit une expression amusée. Ah. Elle reconnaissait bien son fils...
— Que me voulez vous ? — Quel homme intéressant, votre père. Il me semblait pourtant que son frère s'était arrangé pour qu'il ne puisse porter l'emblème de sa famille.
Elle releva le menton pour plonger ses yeux dans ceux d'Alexander.
— Pourtant que vois-je sur votre pourpoint... un emblème, bien que modifié, qui n'aurait pas dû se trouver là. Vous êtes un homme curieux, Alexander. Vous portez un emblème dont vous ignorez la signification, et vous vous montrez insolent face à quelqu'un que vous ne devriez pas froisser.
Elle soupira.
— Ignorez-vous donc tout de vos semblables, votre père ne vous a-t-il rien appris ? N'avez-vous donc aucune connaissance du Fantast ?
Elle avait baissé la voix afin de s'assurer que seul Alexander ne l'entende. Inutile de mêler un humain trop curieux à cette discussion. Elle n'en avait pas entendu à proximité, mais on n'était jamais trop prudent. F.A.N.T.A.S.T. Elle soupira.
— Puisque vous êtes visiblement ignare, ou stupide, je vous suggèrerai de vous mettre à niveau avant notre prochaine rencontre. Et de vous montrer prudent.
| | InvitéInvité | Lun 24 Juil - 15:08 Le regard du Vampire resta ferme, elle était rapide, bien plus que lui, ça, c'était déjà surprenant. Mais, elle semblait le connaitre.
"Père est mort il y a 800 ans, madame" fit il sur un ton plus calme, plus doux, elle l'avait atteint, aussi bien physiquement que dans son intimité. "Vous n'avez pas le droit de me parler ainsi non plus, vous et moi ne venons pas du même monde, dans le mien, les femmes et les hommes se respectent entre eux, même quand ils font des traits d'esprits"
Alexander recula et alla fermer les portes sous les nez des serviteurs qui s'apprêtaient à entrer. Lui, n'avait pas fini de parler. Bien trop massive pour de simple humains, la porte resterai close jusqu'à l'intervention de la garde.
"Ignorant, ni ignare, ni stupide, madame. Connaitre mon père, c'est déjà mieux connaitre mes origines que moi. J'ai dut vivre sans et faire avec, il y a de cela suffisamment longtemps. Fantast... un nom pompeux pour des sang-purs imbus d'eux même..."
L'homme la dévisagea "Je n'ai nullement l'intention de sortir d'ici, que pouvez vous me dire de mon père ? et surtout, en quoi cela me regarde ?" | | InvitéInvité | Lun 24 Juil - 15:57
Elle le regarda se détourner d'elle, et aller fermer l'immense porte. Plusieurs humains seraient nécessaires pour la rouvrir. Mais ils risquaient d'avoir des ennuis... enfin, peut être.
— Père est mort il y a 800 ans, madame. Vous n'avez pas le droit de me parler ainsi non plus, vous et moi ne venons pas du même monde, dans le mien, les femmes et les hommes se respectent entre eux, même quand ils font des traits d'esprits.
Ainsi donc il connaissait le F.A.N.T.A.S.T. mais ignorait le nom de ceux qui la composaient. Quelle curieuse créature son fils avait engendré. Agaçante, malpolie, sans aucun respect pour ses supérieurs. En partie décevante. Mais aussi, il y avait quelque fraicheur à découvrir ce fils perdu. Une pointe de nostalgie. Il ressemblait à sa tante, ce petit. La subtilité en moins.
Sans compter qu'il semblait dire connaitre sa nature mais s'étonnait qu'elle ait pu connaitre son père. Dans d'autres circonstances, elle en aurait ri. Mais elle ne le trouvait finalement que navrant.
— Je n'ai nullement l'intention de sortir d'ici, que pouvez vous me dire de mon père ? et surtout, en quoi cela me regarde ?
Ah ! Il ne manquait pas de toupet, ce petit. Si elle le laissait mariner encore un peu, peut être que cela lui apprendrait l'humilité.
— Pourquoi répondrais-je à ces questions ? Vous n'avez rien fait pour mériter des réponses.
Elle leva la main pour l'empêcher de répondre.
— Néanmoins, je vais vous préciser quelque chose. J'étais parmi les premiers de notre genre, ce qui m'a conduit être à la tête de la famille Falhstrom. Bien que ce nom vous semble inconnu, je n'ai aucun doute quand au fait que vous en ferez la déduction la plus logique. Je ne suis peut être qu'une vieille créature un peu pompeuse et imbue d'elle-même, mais vous seriez avisé de ne pas me contrarier plus que nécessaire. Vous n'êtes pas équipé pour.
L'insulte était à peine voilée. La menace, limpide.
| | InvitéInvité | Lun 24 Juil - 18:45 Cette femme était... Il baissa la tête en signe de respect.
"Vieille, arrogante et particulièrement orgueilleuse" fit il pour la compléter quand elle eut finit mais enchainant pour ne pas lui laisser le temps de répondre
"Si Père ne m'a pas appris grand chose de mes origines, il m'a appris l'art de comprendre les gens et pouvoir leur prodiguer les plus brillants conseils, il m'a également offert ses plus intelligentes citations et métaphore, mais celle que j'ai préféré..."
La main du Vampire venait de partir à toute vitesse, feintant un coup mais terminant sa prise sur la gorge de la femme qu'il attrapa. "Chien qui aboie ne mord pas, et en admettant que vous ne faites pas que aboyer, j'ai tout intérêt à ne pas vous laisser quitter les lieux en vie." Ses griffes solidement attachées autour de sa gorge, un simple mouvement aurait suffit à briser cette petite nuque.
"Je vous propose que nous reprenions ceci dans un endroit où vous et moi serions plus à même de parler librement, et où les règles de bonne conduite serait défini par des règles définis par nous deux" Les yeux rouges étaient ceux d'un homme prêt à la tuer, mais il savait qu'il ne pouvait pas le faire, pas ici... pas elle... elle qui détenait des clés qu'il avait depuis si longtemps perdu la trace. Sa poigne se relâcha et il fit un pas en arrière.
Les portes reçurent un coup, la garde venait d'arriver pour ouvrir. | | InvitéInvité | Lun 24 Juil - 23:55
Pour quelqu'un qui prétendait comprendre les gens, il était de loin le moins futé qu'elle connaisse. Ignare, malpoli, inconscient. Elle le laissa faire. Voir jusqu'où il pourrait aller. Elle se contenta de poser son regard froid sur lui. Elle avait l'information. Il n'était qu'un enfant grognon. Il serrait sa main autour de sa gorge. Et elle ne lui laissa qu'une indifférence crasse. Elle était plus résistante qu'elle n'en avait l'air. Et il n'était pas tout-puissant.
— Je vous propose que nous reprenions ceci dans un endroit où vous et moi serions plus à même de parler librement, et où les règles de bonne conduite serait défini par des règles définis par nous deux. — Vous allez regretter ce geste, Alexander.
Elle resta immobile, entendant les humains s'affairer contre la porte. Sa voix était froide, et elle avait l'air aussi peu humaine qu'elle ne l'était. Mais ces êtres allaient bientôt débouler. Elle ne pourrait d'avantage discuter avec lui. Un léger sourire narquois s'installa sur ses lèvres. Elle s'inclina dans une impeccable révérence, alors que le premier humain entrait dans la pièce.
— Je suis heureuse d'avoir fait votre connaissance, Alexander Ghelal, et j'ai bien le plaisir de savoir que nous nous reverrons. J'ai ouï dire que vos demandes seraient peut être exaucées, et qu'il me faudrait me rendre à la cour de la Tsarine pour y tenir ambassade.
Son sourire s'élargit. Elle aurait tout le loisir de punir cet énergumène pour ses actions inconsidérées. Les gestes qu'il avait eu ne seraient pas impunis. Elle se redressa et se détourna de lui alors que les premièrs gardes s'approchaient pour s'enquérir de la situation.
— Ah, enfin ! Je vous remercie de vous être porté à notre secours, garde ! Cette immense porte, refermée tout à coup. J'ignore comment cela est possible. Quelle frayeur ! Soyez bien brave, raccompagnez-moi jusqu'à mes appartements.
Et elle quitta la pièce sans un regard en arrière. Elle avait beaucoup de choses à préparer.
| | InvitéInvité | Mar 25 Juil - 17:20 Le bras de l'homme vint prendre celui de la femme avant qu'elle n'eut tourner à la porte. "Milady Fahlstrom a été si effrayé que je préfère la raccompagner moi même" fit il en adressant un regard aux gardes et serviteurs qui s'écartèrent devant l'homme. La peur, la crainte, ce réflexe naturelle qu'a la proie devant son prédateur. "Un peu plus et elle faisait une hystérie, je ne l'aurais permis" fit il avec un ton furieux alors qu'il s'éloignait et emmené la femme dans un couloir.
"Je suis également ravis que vous soyez ravis." dit il plus légèrement alors qu'ils arpentaient un couloir. "C'est important d'être satisfait" il tourna à un couloir, c'était des chambres, sûrement des nobles inférieurs, ça grouillait de monde... Il reprit à voix basse pour son attention."Mais pour en revenir à ce que vous disiez, mon principal regret est que nous aurions pu nous entendre à merveille si vous aviez appris l'humilité, et moi le respect pour mes ainés, mais c'est une première pour moi aussi. Le pouvoir que vous avez doit être important, mais vous savez ce qu'on dit, n'est jamais plus dangereux celui qui ignore le danger, et pour l'instant, je ne le connais pas, donc"
Il pénétra dans une chambre vide qu'il ferma derrière lui.
"Parlons... qui était mon père pour vous ? et pourquoi il n'avait plus le droit de porter ses armoiries ?"
Adossé à la porte, il reprit alors
"Évidemment, rien ne vous oblige à parler et je devrais même vous reconnaitre d'y parvenir, mais j'ai l'oreille de la Tsarine et sa confiance, et je pourrais lui dire comment accueillir la parfaite ambassadrice que vous êtes. Si vous allez négocier là bas, personne ne saura mieux la convaincre que moi et moi seul." | | InvitéInvité | Mar 25 Juil - 18:09
Elle sentit sa main attrapper son bras. Sa brusquerie faisait peut être fuir les gardes hors de son chemin, mais Hyrrokkin savait qu'il ne marquait pas de points auprès de la civilisation suédoise. Loin de là.
— Milady Fahlstrom a été si effrayé que je préfère la raccompagner moi même. Un peu plus et elle faisait une hystérie, je ne l'aurais permis.
Elle se contenta d'afficher un air perdu, et de le suivre sans rechigner. Il la lâcha finalement en pénétrant dans une chambre innoccupée, et elle fit quelques pas en l'écoutant encore. Elle s'installa dans un fauteuil, comme si elle était maitresse des lieux depuis toujours, et se demanda, si elle criait assez fort, combien de temps mettraient les humains à rejoindre la pièce.
— Parlons... qui était mon père pour vous ? et pourquoi il n'avait plus le droit de porter ses armoiries ? Évidemment, rien ne vous oblige à parler et je devrais même vous reconnaitre d'y parvenir, mais j'ai l'oreille de la Tsarine et sa confiance, et je pourrais lui dire comment accueillir la parfaite ambassadrice que vous êtes. Si vous allez négocier là bas, personne ne saura mieux la convaincre que moi et moi seul.
A nouveau, elle eut un sourire narquois. Elle reconnaissait bien le cran et le panache d'un Fahlstrom. Mais il semblait tout oublier du bon sens, de la politique.
— Je reconnais votre père parfois, dans votre caractère. Néanmoins il était plus sage. Plus raisonné. Je doute que votre Tsarine bien aimée apprécie votre sens des alliances. Dites-moi, compte-t-elle finir ses jours seule dans son palais gelé, où escompte-t-elle trouver des alliés ?
Elle enroula une mèche de ses cheveux autour de ses doigts. Le jugeant du regard. Elle le trouvait idiot. Emporté. Irraisonné. Déraisonable. Il avait du courage, oui. A moins que ce ne soit de l'inconscience.
— La Russie ne me semble pas être en mesure de fermer autant de portes à autant d'alliés potentiels. Et si elle espère un jour devenir autre chose qu'un gros tas de neige, peut être devrait-elle chosir ses émissaires avec plus de prudence. Afin d'en prendre qui sachent se tenir. Qui montrent du respect.
Elle balaya toutes les potentielles réponses d'un geste de la main.
— Votre père fut écarté, banni de sa famille par son propre frère. Il n'aurait pas dû pouvoir conserver cet emblème, mais il était malin et débrouillard. Je vois qu'il a sû faire preuve de malice, se contentant de le modifier. Ainsi peut être ne rejettait-il pas sa famille, comme je l'ai longtemps supposé.
Elle plongea ses yeux dans les siens.
— Laissez moi vous suggérer de prendre bien garde à choisir vos prochains mots. Ce n'est pas parce que vous ignorez le danger qu'il n'y en a guère.
| | InvitéInvité | Mar 25 Juil - 18:56 Alexander eut un soupir long. "Je vous présente mes excuses pour le manque de tact et de respect que j'ai pu avoir à votre égard, j'aurais du être plus poli malgré que j'ignore pourquoi eu je attiré votre inimitié. Expliquez moi ce que je devrais savoir plutôt que de croire cela normal ? si vous êtes plus agée que moi, n'avez pas encore tout vu, y compris un vampire qui ne connait pas votre famille ? Même si il a plus de 800 ans ?"
Le Vampire s'avança et ouvrit la porte. "Je suis désolé mais je pense que je me suis trompé d'appartement, pourriez vous m'indiquer le votre ?" dit il d'une voix clair. Derrière lui un garde venait d'arriver, le pas suspect alors qu'il venait observer la porte fermée. Elle reprenait l'avantage, elle pourrait simplement lui fausser compagnie... Si elle considérait qu'il n'avait pas à savoir, ce serait à elle d'en décider. Ou bien lui demanderait elle de le suivre.
"En tout cas, j'espère que vous comprendrez que la Russie est une terre fertile, bien plus que toute le Nord de la Suède, je vous offrirai les meilleurs promenades et malgré les quelques sarrasins, je pourrais même vous montrer la route de la soie, Vous avez eu la chance de voir l'Inde ?" | | InvitéInvité | Mar 25 Juil - 19:20
— Je vous présente mes excuses pour le manque de tact et de respect que j'ai pu avoir à votre égard, j'aurais du être plus poli malgré que j'ignore pourquoi eu je attiré votre inimitié. Expliquez moi ce que je devrais savoir plutôt que de croire cela normal ? si vous êtes plus agée que moi, n'avez pas encore tout vu, y compris un vampire qui ne connait pas votre famille ? Même si il a plus de 800 ans ?
Ah. Quand même. C'était un gros revirement qu'il faisait, mais il était appréciable. Même s'il ne faisait que prouver d'avantage son ignorance, il avait néanmoins prit au sérieux ce qu'elle lui avait dit, et s'adressait à elle avec le respect qui lui était dû. Elle se releva en soupirant.
— Effectivement votre ignorance est problématique. Non pas ce que vous ignorez sur votre propre sang, mais ce que vous ignorez sur votre propre monde. Il y a huit cent années, peu d'entre nous ignoraient à ce point tout du FANTAST. Qui n'en faisait pas partie à l'époque ? Qui n'avait pas un lien, proche ou lointain, avec ces grands noms de notre histoire ?
Elle suivit son mouvement en ressortant de la pièce. Elle jouait à la perfection son rôle de demoiselle un peu effrayée par tout ça, mais fort heureusement, pas dépeignée le moins du monde. On aurait pu se poser des questions, ma foi, dérangeantes. Elle sembla ronchonner un peu sur l'inaptitude des hommes dans ce palais, elle leva les yeux au ciel.
— Marchons. Nous finirons bien par le retrouver.
Elle s'avança comme si elle était la Maitresse des lieux, d'un pas agile et impétueux.
— En tout cas, j'espère que vous comprendrez que la Russie est une terre fertile, bien plus que toute le Nord de la Suède, je vous offrirai les meilleurs promenades et malgré les quelques sarrasins, je pourrais même vous montrer la route de la soie, Vous avez eu la chance de voir l'Inde ?
Elle pouffa de rire, et eut la décence de cacher sa bouche de ses doigts gantés. Elle rit. Elle rit d'un amusement non feint. Et quand elle eut fini de rire de ce pauvre homme, elle tourna la tête vers lui.
— Les terres de Russie ? Votre petite Russie, ce gros caillou couvert de neige, plus fertile que notre patrie ? Vous allez bien vite déchanter, mon bon ami. Votre pays a peut être ses charmes, mais ses terres sont aussi fertiles qu'un désert de sable.
Elle semblait être à nouveau perdue, mais elle savait très bien où l'emmener. Ses appartements disposaient d'un salon privé, et à cette heure, sa chère amie n'était pas encore à l'intérieur. Ils seraient seuls un moment, pour discuter. Enfin. S'il y avait encore quelque chose à discuter. L'homme désirait sans doute des réponses, mais était-elle prête à les lui donner ? L'information, ça se mérite. Ce serait sans doute sa première leçon à son égard.
— Les Indes ? Non, je n'ai pas eu ce plaisir. Ah ! Mes appartements sont dans cette direction, venez.
D'un geste du bras, elle lui désigna un couloir, et elle continua son petit manège de jeune noble mentalement égarée, arrachant peut être même un sourire ou deux à un serviteur. Finalement, peut être qu'il ne serait pas si décevant que ça...
| | InvitéInvité | Mar 25 Juil - 23:34 Il l'a suivait discret, ne parlant plus pour l'écouter. Elle parlait comme si elle savait déjà ?... l'Empire Russe était un empire neuf qui aujourd'hui ne cessait de s'étendre, au sud, comme nord et à l'est... ne pas en voir le potentiel, c'était s'aveugler soi même. Etre imbu d'elle même ne voulait pas dire ignorante, peut être n'avait elle pas eu vent des dernières terres prises aux barbares de l'ouest.
Il marchât légèrement en retrait jusqu'à la chambre où il pénétra comme dans un sanctuaire, il resta sur le pas de la porte après qu'il fut entré derrière elle, n'osant trop bougé, c'était le domicile personnel de cette femme, et même si il lui trouvait bien des défauts, elle avait un gout qui lui plaisait...
"Je dois reconnaitre qu'à défaut de savoir y aller, vos appartements sont magnifique" se permit il, il reprit contenance quelques instants et alors reprit en la gardant d'un regard plus calme et même attentif.
"Vous n'avez pas répondu à ma question plus tôt, je vous demandais ce qu'était, pour vous, mon père et d'où le connaissiez vous ?" | | InvitéInvité | Ven 11 Aoû - 8:56
— Je dois reconnaitre qu'à défaut de savoir y aller, vos appartements sont magnifique.
Elle n'avait pas vraiment eu l'occasion de se pencher sur la décoration de ses appartements. A vrai dire, c'était bien la dernière chose qui l'intéressait pour le moment. Et puis ces appartements étaient provisoires... bientôt, elle quitterait ce pays pour un temps. Mais la remarque lui arracha un demi-sourire amusé. Ah, les enfants. Ils sont toujours capable de l'étonner. L'entrée des appartements donnait sur un petit vestibule, où elle déposa son châle, puis une porte sans battant fut franchie, et ils furent dans le salon. Quelques fauteuils, une table d'écriture, rien de bien folichon, mais que de l'efficacité. Elle s'installa dans un fauteuil et lui fit signe de s'installer.
— Vous n'avez pas répondu à ma question plus tôt, je vous demandais ce qu'était, pour vous, mon père et d'où le connaissiez vous ?
Elle resta pensive un instant. Elle ne pensait pas vraiment lui dire tout ce jour-là. Elle voulait le jauger, peut être même le malmener un peu. Voir s'il était capable de lui soutirer une information ou de faire ses déductions lui-même.
— Votre père était quelqu'un qui m'était très cher. Je regrette de ne pas l'avoir connu aussi bien que je l'aurais dû.
Il fallait tout de même qu'elle trouve un moyen de lui dire qu'il était potentiellement en danger... Même si la prudence n'avait pas l'air d'être sa première qualité, un vampire averti en vaut deux.
— Mais je ne suis pas venue vous trouver pour ces informations. Je suis venu voir ce que votre père avait bien pu engendrer, et je dois avouer que je suis assez... mh... surprise.
Elle eut une moue étrange, quelque part entre la lassitude et la déception. Un léger soupir.
— Beaucoup de choses vont changer dans les temps prochains. Je vous suggère d'être particulièrement prudent. Certaines personnes n'approuveront pas le fait que je sois venue vous trouver... Me suis-je bien fait comprendre ?
| | InvitéInvité | Sam 16 Sep - 15:38 Son père lui était un être cher ?... Ainsi il était proche des FANTAST. Alexander baissa la tête en guise de réponse. Elle savait, lui non, et pour l'heure, il avait du retard à rattraper, encore plus avec cette dernière révélation.
— Beaucoup de choses vont changer dans les temps prochains. Je vous suggère d'être particulièrement prudent. Certaines personnes n'approuveront pas le fait que je sois venue vous trouver... Me suis-je bien fait comprendre ?
Le danger imminent, lui qui détestait vivre avec un danger pesant sur la tête.
"Vous l'aurez compris, mais je ne suis pas coutumier du fait et des tensions entre Sangs purs. Ce qui m'importe est mon bien être et celui de ma Tsarine. Dus ai je à tuer quiconque représenterai une menace pour elle"
Il recula vers les appartements. "Mon nom n'est pas le vôtre et je me sens pas concerné par vos problèmes, personne n'a encore eu l'idée de m'attaquer, je tâcherais en revanche de penser à vous si j'étais attaqué prochainement et je tâcherai de régler les problèmes des gens qui souhaiterai s'en prendre à moi."
Il était rester debout, pas le temps pour s'assoir, pas l'envie d'ailleurs, ce qui l'importait, avait été finalement des réponses dont il n'avait pas reçu pleinement satisfaction.
"Lady Fahlstrom, je suis ravi de vous avoir rencontré, charmante bien qu'au caractère peut être trop intransigeant avec un ignorant. Je vous promet de corriger cela, ne vous en faite pas pour moi. J'ai quelques facultés à vite retenir."
Sa main se redressa afin de la saluer comme il se doit et il quitta alors les lieux. Pas de réponses supplémentaires pour aujourd'hui, il avait besoin de faire le point et préparer la rencontre avec sa Tsarine. Quand à ces terres, elles seraient bientôt plus vaste que n'importe quelle terre. | | Contenu sponsorisé | | |
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