« Et de neuf ! Neuf ! Aujourd'hui, tu bats des records Edwige ! » Cria le chef de la demoiselle. « Je ne savais pas qu'une personne pouvait être aussi maladroite que toi » Dit-il en soupirant.
Elle le regardait d'un air triste, elle avait les joues rouges de honte. Elle savait qu'elle était maladroite. Les objets qu'elle cassait, avaient beaucoup de valeur. « Ont fait comme d'habitude, je le retire sur ton salaire. » Ajouta son chef avant de partir dans une autre pièce.
Edwige était une servante dans un grand hôtel de luxe de Londres. Son chef avait décidé de la mettre à la vaisselle et au nettoyage des espaces du personnel. Elle n'avait pas accès aux étages de la haute société. Elle était débutante dans le domaine et son chef n'avais pas confiance en elle.
Elle n'avait pas fini sa vaisselle quand son chef débarqua dans la salle, il était paniqué et il tournait en rond. Edwige lâcha de nouveau une assiette. Enfin, celle-ci avait rencontré le rebord de l'évier trop brutalement. « EDWIGE ! » Cria-t-il de colère. Puis il se retourna vers elle. « Edwige. » Répéta-t-il d'une voix plus calme.
Edwige le regardait, un peu surprise du changement de ton. « Oui, monsieur. Je suis désolé pour l'assiette. »
Son chef s'approcha d'elle et mit sa main sur son épaule. « Tant fait pas pour l'assiette, je vais avoir besoin de toi ma petite Edwige. » Edwige le regardait encore plus surpris, son chef ne l'avait jamais appelais comme cela. « Mathilde ta collègue, n'est pas venu au travail aujourd'hui. Nous avons des clients à son étage. Et je n'ai pas de remplaçante sous la main. » Développa-t-il avec un grand sourire. « Tu pourrais prendre son service, cela te fera travailler trois heures de plus aujourd'hui. Et si tu me rends ce service, je ne te ferai pas payer les assiettes. Je suis vraiment dans une mauvaise situation, les clients de cet étage sont très importants. Alors tu me rends ce service ma petite Edwige ? » Demanda-t-il avec un grand et chaleur sourire. Edwige savait que s'il était comme cela, c'est que c'était vrai. Elle hocha la tête pour accepter sa proposition. Elle était contente de pouvoir enfin servir des clients même si c'était juste pour trois heures.
Edwige mis sa tenue de servante, une tenue qu'elle aimait. Cette tenue était traditionnelle, mais cela lui allait plutôt bien. Son chef arriva avant qu'elle prenne son service pour lui dire quelque chose en plus. « Edwige, ne te fais pas remarqué. Tiens-toi bien, vouvoie les clients et surtout ne renverse rien. Ah ! Et ne casse rien du tout ! » Edwige hacha la tête avant de commencer.
Edwige avait servi toute les chambres, il n'en resta qu'une. Elle avait eu du mal, mais par chance tous, c'était bien passé, pas de casse. Mais ce n'était pas fini. Elle toqua sur la porte pour annoncer sa présence. « Bonjour, puis-je rentrer. Je suis Edwige votre servante. Je vous apporte également du thé. » Dit-elle d'une voix douce et agréable.
At your service ••• L’Angleterre, tu étais souvent ici, tu aurais presque put y vivre en y repensant, mais finalement, la Suède restait le lieux parfait pour toi. Au fond, certainement que tu affectionnes le temps froid et la neige. Ici, il fait souvent gris, enfin c'est un cliché mais c'est pas totalement faux, c'est parfait pour ta peaux. Tu te souviens encore de ton voyage en Italie il y a de ça plusieurs décennies, tu avais apprécié mais bon sang, ce que le soleil pouvait être violent là-bas. De quoi te faire tourner la tête facilement. Tu es une personne du Nord mon pauvre Aldrich c'est un fait, ce n'est pas comme si un Vampire était fait pour se dorer la pilule au soleil pour bronzer, de toute façon, bronzer est quelque chose d'assez mal vu dans la société, il suffit de voir le nombre de donzelle qui se pomponne le visage pour l'éclaircir, prétextant qu'avoir une couleur de peau n'était bon que pour le bas peuple qui se doit de travailler sous les rayons chauds. Cela te fit te poser la question aussi existentielle que stupide de : comment fait un vampire qui naît à la campagne ? Il doit travailler sous le soleil ? Quel calvaire. Mais je crois que le pire dans tout ça mon pauvre Aldrich, c'est que tu en viennes à te poser ce genre de question, alors que tu étais là, installé dans ta chambre des plus royale. Combien de gens non fortunés ont pourrait loger dans ce genre d'endroit ? Beaucoup, autant même qu'on pourrait en nourrir, on ne manque de rien, l'endroit est des plus agréable et confortable, et tout ceci était comme quelque chose qui te revenait naturellement, tu as vécu simplement avec une cuillère en or dans la bouche jeune vampire et cela se voit. La différence étant que tu ne vieillit pas, tu n'aurais pas de si tôt de réelle responsabilité, à moins que ton père d'adoption ne décide de passer l'arme à gauche. Alors tu es condamné à rester le jeune héritier qui marche dans les traces de son père. Cela fais juste un siècle que tu es à cette fonction. Mais ça, personne ne le sait. Vous n'êtes ici que de passage dans le coin, et vous vous êtes toujours arrangés pour pouvoir vous faire oublier et qu'on non soupçonne pas la jeunesse éternelle de la famille Rozanovski. Si ce n'était pas le cas, tu ne serais pas installé à cette table vite, sur un fauteuil. Il n'y aurait pas cette porte qui t'aurait alors sortit de ta torpeur en émettant un bruit, quelqu'un venait de frapper. Ah oui, il est leur du thé. Tu as tendance à oublier ces coutumes anglaise, il est toujours bon pour un noble de le consommer, tu n'en as pas forcément l'envie, mais tu le fais, parce que c'est quelque chose de normal.
« Entrez.
C'est ce que tu as répondu tout simplement. Ton accent ce faisait sentir quand tu parlais Anglais, mais tu étais parfaitement compréhensible.Tu as relevé alors ton regard améthyste sur la demoiselle qui était entré après ton autorisation. Le thé hein. Du coup, il était évident de voir débarquer une jeune femme en tenue de domestique des plus classique. Peut-être malgré toi, tu l'as jaugé du regard un instant avant de reporter ton attention sur ce qu'elle apportait, c'était certainement moins gênant.
« Vous pouvez poser ça-là.
Fis-tu en pointant alors la table contre laquelle tu étais accoudé, un livre alors distraitement ouvert dessus. Visiblement le contenu ne t'intéressais pas plus que ça pour l'instant mais on va faire comme si.
« Dites-moi, vous sauriez ce qu'il y aura pour le dîner ?
Edwige était rentée et elle avait failli faire tomber la carafe de thé. Par chance, rien n'avait était vu, rien n'avait rencontrer le seul. Edwige soupira dans sa tête. Elle obéit à l'ordre du noble. Elle savait que tous les gens d'ici étaient des nobles, plus ou moins fortunés. Edwige n'était pas à sa place, mais elle aimait son métier.
Il ne lui avait pas donné un ordre, mais elle prenait cela comme un ordre. Il lui avait posé une question. Edwige réfléchit un instant. « Huum... » Elle le regardait. L'homme en face d'elle était jeune. Elle réfléchit encore un peu avant d'énoncer les plats. « Aujourd'hui, nous avons du Roast gammon. C'est un jambon rôti qu'on mange chaud, accompagné de pommes de terre en purée et de légumes de saison. Il y a aussi Shepherd's pie. C'est un hachis parmentier à l'agneau haché, servi avec des légumes beurrés. Comme désert, nous avons du pudding. Nous avons aussi un crumble de fruits. Nous avons pommes, prunes, ou groseilles. Le crumble recouvert d'une pâte sablée à grumeaux, et cuits au four. Vous pouvez le manger chaud, ou froid. Si vous n'êtes pas tenter par un de nos plats notre chef peut vous faire quelque chose de spéciale. »
Elle le regardait en souriant, elle était contente de pouvoir enfin faire son travail. Elle avait fait beaucoup d'effort pour avoir cet emploi. Elle servit le thé du jeune noble. Elle lui servit dans un joli service à thé. C'était un service avec des dorures. « Voici votre thé monsieur. Faite attention, il est bien chaud. Ne vous brûlez pas avec chère monsieur. » Elle lui apporta et le regardait avec un grand sourire.
« Monsieur, que souhaiter vous pour dîner. Je suis à votre service. » Dit Edwige avec un grand sourire. Elle le regardait, elle remarqua qu'il était jeune et se souvenu d'une parole de sa collègue. Celle-ci disait souvent que plus les nobles son jeune et plus ils sont exigeants. Mais sa collègue avait aussi le même discours pour les nobles âgés. Cela la fit sourire, même s'ils étaient exigeants Edwige ne voulait que les servir et donner son maximum pour les aider.
Tout à coup Edwige s'arrêta de sourire, elle venait de se souvenir de quelque chose. Elle avait complètement oublie quelque chose d'important dans le thé. « Veuillez m'excuser, mais je ne vous ai pas demandé combien de sucre vous vouliez dans votre thé. »
At your service ••• Tu avais écouté d'un air distrait le menus, tu avais pu remarquer la présence de viande dans le repas, ce qui te rendrait le tout moins ennuyant, rien de bien extraordinaire. Il est difficile de contenter un vampire affamé avec de telles choses de toute façon. Si ce dernier à faim, vous aurez beau lui mettre le plus appétissant des plats sous le nez qu'il n'y trouvera pas son bonheur. C'est juste... Bon. C'est tout, rien de nourrissant et sa gorge lui brûlera toujours autant. Alors au final, qu'est-ce qui t'intéresse mon cher Aldrich ? Pas grand chose, à dire vrai, à cet instant, ton regard c'était perdu sur la jeune domestique, tes yeux la détaillaient de façon terriblement calme et posé, ton regard alors avait remarqué ce frêle cou sur laquelle sa tête était posé. Tu avais l'impression de pouvoir entendre les battements de son corps, devinant alors le liquide rouge qui était alors propulsé grâce à ce dernier dans les artères et veines. Tu avais alors imaginé pendant un bref instant le goût qu'il pourrait avoir. Tu as toujours eut une préférence pour le sang des jeunes femmes. Tu es un homme de goût et les demoiselles sont assurément ton penchant préféré en tout point. Même si tu n'hésite guère à t'en prendre à un homme, une femme serait une cible de choix. C'est ce que tu préfères, leur goût est bien plus appréciable d'après toi. Alors est-ce que l'envie d'y planter tes crocs t'as traversé l'esprit ? Un bref instant oui. Mais tu as cligné des yeux. Il ne fallait pas. Elle t'as tendu cette tasse, en souriant, t'invitant alors à prendre garde à ne pas te brûler avec. Alors tu l'as attrapé sans dire un mot. Tu parles d'un garçon bizarre que tu fais là, pas bien bavard. Même si en fait, rien ne t'oblige à l'être avec une domestique après tout, ces derniers te doivent el respect, et toi tu ne leur accordes que ce que tu veux bien leur accorder, rien de plus. Pourtant, je suppose que tu n'es pas si snoob que ça comme garçon.
« Hm. Merci.
Ouais, on sent que tu ne savais pas quoi dire hein. Alors tu étais à comme un idiot ennuyé à la fixer bêtement, la tasse dans tes mains sans même y tremper tes lèvres pour goutter. Le thé, en vrai, ce n'est pas ton truc. Tu le prends parce qu'on t'as dit que c'était un truc de noble d'en prendre, parce que ta mère te disait de t'habituer à en consommer, c'est une boisson très en vogue dans la haute société, si tu es capable d'en boire, tu ne t'en portera que mieux, alors prends cette habitude. Il faut avouer que le thé de désintéressait totalement. Elle était à ton service pour le dîner hein. Voilà quelque chose de bien tentant pour toi, tu n'aurais certainement pas grande difficulté à la vider de son sang et t'arranger pour cacher le cadavre. Mais tu n'es pas comme ça. Et puis, tu te dis que tu peux encore patienter avant de devoir te nourrir. À quand remonte ton dernier vrai repas déjà ? Presque un semaine... Déjà. Cela commençait à faire et cela se sentait. Tu n'avais alors pas répondu à la question, laissé songeur, tu t'étais fait doubler par sa deuxième demande. Ah oui. Le sucre.
« … Un seul suffira ça ira.
Eh bien, quel ennuie tu es Aldrich. Tu t'es de toute façon levé à ce moment là, reposant alors la tasse en porcelaine dans sa petite coupelle pour alors te diriger les mains dans le dos vers la fenêtre. Le soleil n'était pas trop dérageant pour tes yeux, comme souvent le ciel était gris et maussade, un temps que certains n'apprécient pas mais qui l'est pour le jeune vampire que tu es. Soudainement, il s'est retourné.
« Je ne penses pas que vous puissiez faire quoique ce soit pour mon repas jeune demoiselle.
Son parfum t'enveloppait, elle respirait la vie, la vie que tu rêvais de pouvoir goutter que ta gorge commençait à doucement réclamer. Très doucement.
Edwige avait repris la tasse. Elle écoutait le noble, parler. Sa voix était mélodieuse, il était vraiment un noble. Edwige n'était pas capable de parler avec tant d'assurance. Elle prit le sucre qu'elle déposa délicatement. Elle l'écoutait sans dire un mot. Dans un sens, elle était captivée, dans un autre, elle ne faisait que sont travaille. Mais tout changea brusquement, quand elle entendit les deux dernières phrases.
« Je ne pense pas que vous puissiez faire quoique ce soit pour mon repas jeune demoiselle. Je vous conseille de retourner à vos affaires. »
Edwige se retourna brusquement avec la tasse à la main, elle n'avait pas senti que le noble était si proche. Elle renversa un peu de thé par terre, elle garda la tasse à la main.
« Vous me renvoyez ? Ai-je fait quelque chose de mal. » Dit-Edwige d'une voix paniqué. Elle regarda par terre avant de s'apercevoir qu'elle avait fait tomber du thé. Paniqué et en voulant ramasser les bêtises qu'elle avait faites sur le sol Edwige lâcha la tasse. La tasse se fracassa sur le sol. « Non, je ne voulais pas. Enfin, je suis désolé. » Edwige le regardait. « Je suis vraiment navré. Je ne voulais pas. » Elle rougissait de honte. Elle savait que cela aller faire un scandale, elle allait retourner, en cuisiner, faire la vaisselle.
Elle s'accroupit pour ramasser les morceaux de la tasse, elle ne réfléchissait plus à ses gestes. Elle avait peur de perdre son travail, de se retrouver encore à la vaisselle. Elle avait peur de ne pas pouvoir encore payer son loyer, elle avait cassé beaucoup trop de choses. Elle ramassait les morceaux en tremblant. « S'il vous plaît, laissez-moi une chance. Dites-moi ce que vous voulez comme repas, je suis sûr de vous satisfaire. » Sa voix tremblée, elle savait qu'elle était finie si se client se plainiez de son premier service.
Elle ramassait doucement les bouts de la tasse qu'elle venait de faire tomber, elle les mettait dans son autre main. « Je ne veux pas retourner au placard. » Murmura-t-elle. C'est comme cela que les autres collègues qui ne l'aimaient pas l'appelaient. Elle regardait le noble dans les yeux et d'une voix forte et courageuse, elle dit « Donner moi une autre chance ! »
Elle gardait ses morceaux dans sa main et continuait de regarder le noble droit dans les yeux.
At your service ••• Renvoyer un ou une domestique à ses tâches n'est pas quelque chose que tu fais souvent, mais ce sont des choses qui arrivent. Et à tes yeux, rien de bien dramatique. Pourtant, elle avait l'air terriblement bouleversée. C'est presque comparable à une femme qui vient de se faire éconduire en fait. Il avait l'impression de lui avoir fichu une gifle monumentale, assez en tout cas pour lui faire lâcher le service à thé et le faire tombe. Boh, ce n'est pas grave, ce n'est pas comme si tu appréciais à ce point le thé en fait. Alors tu l'as regardé te supplier, tout en se baissant pour ramasser ce qu'elle avait fait tomber, l'air soudainement terriblement désolée. Comme si elle était coupable de quelque chose. Pourtant, elle ne t'a rien fait, si ce n'est sa maladresse plus qu'évidente. Entre ça et le bruit que tu avais entendu plus tôt dans le couloir -pensant alors qu'une domestique était venue étaler le thé sur la porte de ta chambre-, mais bon rien de bien dramatique pour ta noble personne. Tu le soulignais tout de même.
« Tsss. Quelle maladresse.
Les humains sont souvent peu assurés, mais ils sont jeune, elle est terriblement jeune à côté de toi, techniquement, tu aurais plus que largement le temps de vie d'être son arrière arrière grand-père. Tu as cessé de grandir à peine plus âgée qu'elle ne devait l'être actuellement. Elle n'est qu'une enfant. Une enfant maladroite, que tu voulais éloigner de toi, parce que l'odeur de cette dernière t'incommodait. Ou plutôt te rendait instable. Tu gardais d'ailleurs le plus de distance possible entre elle et toi, tu ne t'étais pas agenouillé, tu t'étais même un peu reculé d'un pas lorsque tu avais râlé. Elle se plaignait, elle t'implorait. Pendant un instant tu as presque cru que tu l'avais frappé en fait... Ou que tu lui avais fait du mal, mais non rien de tout cela. Tu as alors soupiré. Quelle était cette histoire de placard, allons-bon, quelle genre d'invention ou expression est-ce encore ? Un truc d'Anglais ? On enferme les domestiques maladroites dans les placards ? C'est du moins cette interprétation farfelu qui t'es venu en tête. Tss. Quelle autre chance elle voulait ? Elle voulait te faire plaisir ? Elle voulait être à ton service ? Qu'elle offre son sang, voilà quelque chose qui convient de faire à un vampire comme toi. Est-ce acceptable ? Est-ce quelque chose qui resterait secret ? Pas sûr. Vider une employer de son sang en guise de repas, voilà de quoi t'attirer les foudres de tous ces humains craintifs de l’inconnu. S'ils savait tout ce qui vivent autours d'eux.
« Une chance ? Qu'attends-tu donc comme chance ? Je ne t'ai guère menacé, je te renvoie simplement à ton travail. J'en ai d'ailleurs un pour toi jeune fille.
Jeune fille. C'était un une appellation presque étrange, tu ne semble pourtant pas bien vieux par rapport à elle. A quel âge as-tu cessé de grandir... Dix-neuf ou vingt ans peut-être, quelque chose de ce genre. Tu t'es alors approché d'elle, et d'un geste peut-être un peu trop vif, tu as attrapé son menton, pour qu'elle lève d'autant plus le regard vers toi et te regarder dans tes améthystes qui te servent de yeux.
« Tu vas aller dire qu'il est inutile de m'attendre pour dîner. Je pense me passer de repas, je suis fatigué. Je peux compter sur toi hm ?