InvitéInvité | Dim 25 Sep - 0:42 | Adam Forsanz ÂGE ─ Oh, j'ai vu bien des lunes au long de mon existence mais combien, je ne saurais vous le dire. (22 d'apparence) ANNIVERSAIRE ─ Bien trop de temps s'est écoulé pour que je m'en souvienne OCCUPATION ─ Comte ORIENTATION SEXUELLE ─ Hétérosexuelle CLASSE SOCIALE ─ Noble PAYS ─ France RACE ─ Vampire de Sang-Pur, de l'une des 7 familles AVATAR ─ Valshe - Nico nico singer - Profil Psychologique Il n’est pas aisé de dépeindre le caractère d’Adam. Comprendre un individu en cas général peut s’avérer une tâche plus ou moins ardue. Eh bien, dans le cas du jeune homme, il est presque impossible de le décrire moralement. Lorsque vous pensez commencer à percevoir une partie de sa personnalité, il se comportera autrement. Effectivement. Imprévisible est un qualificatif qui lui sied.
D’une part, aussi calme que la surface d’un lac. Le jeune noble a un certain contrôle sur ses émotions et ne se laissera pas emporter si facilement par elles. Troublé son calme ? Sombrer dans des émotions tels que la colère, la haine, que sais-je encore ? Que cela lui apporterait-il si ce n’est que de commettre des erreurs. Il faut parfois faire abstraction de ces facteurs pour pouvoir raisonner posément. Il prendra ainsi la décision qu’il considérera être la meilleure sans avoir de regret.
Ce n’est pas une personne dénuée de sentiments non plus. Il est toujours souriant et compréhensif, même s’il préfère parfois la solitude. Si quelqu’un proche -autant qu’il le permet- de lui aurait des ennuis, Adam n’hésiterait pas à lui venir en aide. Cela vaut aussi pour des personnes qu’il aurait décidé d’aider, même sans les connaître. Encore une fois, il fera ce qui lui semble juste.
Adam, en revanche a du mal à comprendre le point de vue des vampires qui s’adonne à boire le sang d’humains plus par jeu que par nécessité. Il ne les blâme pas, sachant que les gens comme lui sont l’un des maillons constituant ce que l’on nomme, la chaîne alimentaire. De son point de vue, se nourrir au sang et même y prendre plaisir n’est pas un acte répréhensible. Toutefois, certains se plaise à les chasser par simple jeu. Soit. A chacun ses plaisirs. Tant que cela ne perturbe pas l’ordre et n’attire l’attention des humains. Autrement, « Je serais contraint d’intervenir. En tant qu’être, en tant que noble, en tant que vampire de sang-pur. » | Histoire ♠ Première Lune ♠Douce nuit de printemps. Il est agréable en ce temps de rester hors de la demeure et se perdre dans la contemplation du ciel. Ce qui était d’ailleurs le cas d’Ambre Forsanz qui reposait dans un siège, le visage levé vers les cieux où un sublime croissant de lune éclairait les alentours, et où les étoiles venaient se joindre à l’astre lunaire, dans une harmonie à la limite de l’irréel. Sa longue chevelure blonde, l’entourait, dont certaines mèches se balançaient délicatement sous l’effet d’un souffle de vent.
Nul ne pouvait affirmer le contraire. C’était une paisible nuit. La demeure se situant légèrement en retrait de la ville. Une petite villa bordée d’arbres, ce qui donnait l’impression d’être coupé du reste du monde. Mais n’y avait-il meilleur lieu pour se détendre, profiter du calme seulement troublé par des sons naturels, œuvre d’animaux habitant à proximité ? En parlant de sons troublant la quiétude environnante, des pas se faisaient entendre approchant vers la jeune femme dont l’attention toute entière était encore reportée vers les cieux. Le responsable posa sa main avec la plus grande douceur sur l’épaule de sa bien-aimée et s’adressa à elle d’une voix, presque un murmure, emplie de tout l’amour qu’il lui portait.
- Ambre ? C’est donc ici que vous vous trouviez ?
- Vous me cherchiez Charles-Henry ?
- Je me demandais où pouvait bien se cacher ma dame. Prenez garde à ne pas tomber malade.
- Allons, le vent est doux. Je ne risque rien. Mais dites-moi, ne seriez-vous pas légèrement nerveux à l’idée de bientôt porter le titre de père ? Sur ces paroles, la jeune femme posa sa main sur son ventre arrondis par la vie qu’elle portait en elle et qui allait bientôt voir le monde qui l’entourait. Charles-Henry, prit appuie sur le dossier de la chaise et posa sa propre main, sur celle de sa compagne. Un sourire éclairait son visage tandis qu’il se trouvait aux côtés des deux êtres si chers à son cœur. Comme en réponse, à leurs sentiments, l’enfant donna un petit coup. Les deux parents se mirent à rire.
- En effet, il m’arrive d’être perdu, voir inquiet. Mais n’est-ce pas le cas de tous ceux à qui une nouvelle vie a été confiée ? Nous avons beau être tous deux des vampires, il n’en reste pas moins que nous savons aimer. Vous avez fait de moi, le plus heureux des hommes en acceptant de devenir ma dame et de porter notre enfant.
- Je me félicite surtout d’avoir trouvé un homme aussi charmant. Que voulez-vous ? Le cœur a ses raisons que la raison ignore, ne dit-on pas ? Dans mon cas, mon cœur tout comme ma raison se sont parfaitement entendu sur ce point.
- J’en suis flatté. Il me tarde que ce petit se montre. Je suis persuadé qu’il ressemblera à sa mère. Un aussi bel esprit, doux, compréhensif et tant de chose qu’il me faudrait plusieurs nuits pour toute les énumérer.
- Ou peut-être héritera-t-il de mes défauts, ajouta-t-elle avec un léger rire. Toutefois aussi charmant que son père. Des cheveux aussi châtains que les vôtres, ou d’un blond semblable aux miens. Oh, que je suis impatiente à l’idée de te voir enfin, Adam.
~ Deux semaines plus tard.
La même lune était présente, veillant sur la jeune mère ainsi que son compagnon qui tenait précautionneusement leur fils entre ses bras. Il s’approcha d’Ambre, encore épuisée des efforts qu’elle avait dû fournir et pourtant l’expression qui s’affichait sur son visage n’était autre que pur enchantement. Adam était né. Toute la nuit, les deux vampires veillèrent leur petit. La jeune femme alitée, le dos prenant appuie contre plusieurs oreillers, berçait son enfant tout en chantonnant une berceuse. Quant à Charles-Henry, il s’était installé près d’elle et jouait avec la petite main du bébé. Celui-ci serra le doigt du jeune homme dans son sommeil, ce qui amusa ses parents.
***
Les années défilaient et Adam grandissait. En tant que jeune noble, il se cultivait dans divers domaines. Allant des cours de la culture générale, aux cours d’escrime, d’équitation pour lesquels il se découvrit rapidement une grande passion. Il s’initia aux danses qu’il était normal pour quelqu’un de son rang de maîtriser. Il apprit également tous les arts de la bienséance. Mais il en prenait plaisir, surtout lorsque ses parents le félicitait. En effet, le jeune comte car tel était son rang à l’instar de ses parents, aimaient leur faire plaisir, ce qui le rendait heureux à son tour. Et s’il garda bien, une activité favorite durant ses longues années, ce fut l’équitation. Pour lui, galoper à toute vitesse en parfaite synchronisation avec sa monture, tandis que les paysages défilaient, était un pur plaisir.
S’ajoutait à ses différentes pratiques, des leçons particulières que lui donnaient ses parents. Vous l’aurez devinez, il appris ce qu’il fallait savoir sur les vampires. Car oui, Adam Forsanz était un être de la nuit. L’histoire des siens… se nourrir… cacher aux autres sa véritable nature…
Avec l’âge, le jeune vampire acquérait de l’expérience et se forgeait sa propre idée du monde dans lequel il vivait. Déjà durant son enfance, alors que son père l’emmenait se nourrir, il avait été témoin du repas d’autres gens de son espèce. Et ce qu’il avait vu ne lui avait pas vraiment plu. Ils s’étaient jetés sur leur victime, et la vidaient de son sang jusqu’à ce que la mort vienne la chercher. Et peu importe à quel point, elle s’était débattu, elle n’avait rien pu faire si ce n’est que de vivre ses derniers instant les larmes aux yeux, en regardant ceux qui mettaient fin à sa vie. Heureusement pensa-t-il que son père ne lui avait pas appris à se comporter ainsi. Mais, il ne put s’empêcher de l’interroger lui, ainsi qu’Ambre sur ce qu’il avait vu.
- Mère, Père.
- Qu’y-a-t-il Adam ? Quelque chose semble te rendre soucieux, dit cette première en affichant un air inquiet.
- En effet. Je me posais des questions sur le groupe de vampires que nous avions rencontré aujourd’hui.
- Et que s’est-il passé ? Questionna-t-elle non seulement son fils mais également son compagnon.
- Rien qui n’ait à te préoccuper Ambre. Adam a vu pour la première fois, des vampires agirent… autrement que nous le faisons.
- Je vois.
- Je dois vous avouez que je n’ai pas vraiment apprécié de voir la façon dont ils se nourrissaient.
- C’est ainsi. Il ne faut pas que tu penses que tous vampires sont comme nous. Nous ne nous nourrissons qu’en cas de nécessité, mais au cours de ton existence, il est probable que tu te retrouves à nouveau face à ce genre de scènes.
- Il n’empêche que ça ne me plaît pas. Je sais quel genre de vampire je veux être. Je veux être comme à votre exemple un vampire qui ne se nourrit que lorsqu’il en a besoin.
- C’est ton choix Adam, ajouta Ambre sans dissimuler un sourire de fierté face à la décision que venait de prendre seul son fils.
♠ Seconde Lune ♠
Adam était allongé dans les herbes, les mains derrière la tête et profitait du calme. Il se trouvait ici depuis plusieurs heures. C’était une clairière qu’il affectionnait particulièrement. Lorsqu’il était enfant, il venait parfois se promener au bord du lac et organisait un repas dans ces mêmes herbes où il reposait à ce moment même. Ce lieu enchanteur était devenu son refuge. En dehors de ses parents, personne ne savait qu’il se rendait ici. Après une longue cours à cheval, évitant des obstacles semés de-ci, de-là, les cheveux ébouriffés par le vent, il laissait son cheval marcher à sa guise dans la clairière tandis qu’il s’allongeait et fermait les yeux. Parfois, il lui arrivait d’emporter avec lui un ouvrage qu’il se mettait à lire après avoir s’être installé à l’ombre d’un arbre.
Aujourd’hui, il s’était contenté de garder les yeux clos, sans pour autant s’endormir. Adam se releva finalement, alors que le soleil commençait à se coucher. Il se dirigea vers son cheval, un bel étalon dont la robe était d’un majestueux noir d’ébène et lui caressa l’encolure.
- Il faudrait peut-être songer à rentrer, qu’en penses-tu ?
L’intéressé le regarda avec des yeux brillants. Le vampire lui sourit avant de le chevaucher et tous deux s’élancèrent dans un galop, les menant sur le chemin du retour.
Lorsque le jeune homme arriva devant la demeure, il arrêta brusquement sa monture. Quelque chose semblait anormale. Il ne savait pas si ce n’était qu’une impression. Son instinct qui lui murmurait à l’oreille de rester prudent ou encore un mauvais pressentiment fondé ou non, mais il sentait que quelque chose s’était produit. Et ce qui ne le rassura pas, fut qu’il lui semblait que ce n’était pas une bonne nouvelle. Ce fut en sautant de cheval, un malaise et une peur grandissants en lui qu’il accourut à l’intérieur.
- Mère ! Père ! Où êtes-vous ?
Il tentait de conserver le peu de calme qu’il possédait à l’heure actuelle et s’intima à raisonner. Il espérait plus que tout qu’Ambre allait apparaître et lui demander ce qui lui arrivait à crier ainsi. Et Charles-Henry, descendrait les escaliers en riant pour venir poser sa main sur l’épaule de son fils. Mais pourquoi sa vision ne se réalisait-elle pas ? Il ne voyait aucun des deux protagonistes de son espoir qui se fanait de plus en plus tel une rose que l’on voit perdre ses pétales un à un. Il renouvela ses appels, une détresse des plus présentes dans la voix alors qu’il ouvrait les portes à la volée, sans ménagement. Rien n’avait été déplacé ou volé. Si tout était normal, pour quelle raison ne répondaient-ils pas ? Etaient-ils sortis ?
Cette hypothèse fut bien vite brisée en morceaux, aussi fragile que du verre que l’on aurait fait tomber malencontreusement au sol et les éclats étaient ceux d’Adam qui tombait à genoux, devant ce qu’il voyait. En entrant dans la pièce, l’on aurait pu tout aussi bien pénétrer dans un autre monde tant le contraste se faisait entre cette pièce et le reste de la demeure. Un chaos indescriptible y régnait. Les meubles étaient détruits, et les morceaux répartit dans tout le salon, du verre jonchait le sol, les livres qui constituaient une petite partie de la bibliothèque de ses parents étaient déchirés. Mais plus que les lieux dont le jeune noble n’avait que faire de l’état, ce fut surtout le milieu du salon qui attira son attention, le plongeant dans l’horreur. Ses parents reposaient couverts de sang l’un près de l’autre. Sang qui d’ailleurs avait coloré une partie des murs telle une peinture macabre, du sol et du désordre environnant. Ils étaient grièvement blessés. Même à cette distance, il était aisé de le deviner. Le vampire se précipita vers eux, ses jambes le soutenant à peine et manquant de trébucher à chaque pas.
C’est alors qu’une nouvelle émotion s’immisça en lui. Une rage… Non. Le mot était bien trop faible. Une haine qu’il avait du mal à contrôler. Pour la première fois au cours de son existence, il éprouvait l’envie de tuer quelqu’un. Mais pas n’importe qui. Il voulait mettre fin aux jours du responsable. Il s’apprêtait à se relever mais au prix d’un grand effort, il se retint. Il se mordit la lèvre au point de faire apparaître un mince filet de sang. Le noble s’avança vers ses parents. Il voulait les aider. Et quel ne fut pas son soulagement lorsqu’il entendit deux respirations. Certes, très faibles, mais indiquant que Charles-Henry et Ambre étaient encore vivants.
Plusieurs jours plus tard, les deux êtres de la nuit avaient récupéré toutes leurs forces. Toutefois, ils n’avaient pas pu voir le visage de leurs agresseurs. Ils étaient à plusieurs, et après être entrés dans la demeure, un combat s’était engagé entre le compte et sa femme qui faisaient face à leurs ennemis. Ennemis puissants car on ne s’attaque pas à des vampires de sang-pur ainsi et de surfait les blessés au point qu’ils se retrouvent aux portes de la mort.
Durant cette période, l’humeur de notre jeune aristocrate s’était assombrie. Il manquait cruellement d’informations qui lui permettrait de retrouver la trace des agresseurs. Un après-midi, la mère du garçon entra dans sa chambre. Ce dernier regardait par la fenêtre perdue dans ces pensées. Il ne détourna même pas le regard de l’extérieur alors que la jeune femme s’approchait de lui. Elle prit place près de lui et replaça une mèche qui lui tombait devant le visage.
- Adam, nous en avons déjà parlé. Ca fait maintenant plusieurs jours que tu es dans cet état. Nous sommes vivant ton père et moi, et ceci grâce à toi. Tu n’as pas à t’en vouloir.
- Et vous savez ce que je pense. Je n’ai pas encore réussi à les retrouver. Tant que je ne les aurais pas retrouvés, je refuse d’abandonner mes recherches.
- Et s’il t’arrivait quelque chose. Penses-tu que cela aurait un sens ?
Le jeune homme se tut, laissant ces dernières paroles résonner à son esprit. Ambre se releva et déposa un baiser sur sa joue avant de repartir en direction de la porte. Avant de sortir, elle s’arrêta.
- Poursuis tes recherches si tu le souhaites, mais je t’en conjures. Ne commet pas un acte qui te coûterait la vie. Nous ne supporterions pas de perdre notre fils.
Puis, elle s’en alla en refermant la porte. Une fois qu’elle fut partie, le jeune vampire sentit une larme rouler sur sa joue. Il resta enfermé toute la journée, tournant encore et encore les paroles qu’elle avait prononcé. Devait-il réellement songer à abandonner ? Il passa plusieurs heures à évaluer le pour et le contre, avant de sortir enfin de ses appartements.
Dans les jours qui suivirent, il retrouva sa bonne humeur, et ils ne parlèrent plus de l’incident. Mais, le jour où il avait pris sa décision, Adam Vanderkan l’avait annoncé à ses parents. Ses derniers acceptèrent son choix. Depuis, leurs vies avaient repris leur cours.
♠ Troisième lune ♠
Adam durant ces années avait comme tout noble ses devoirs. Il était prêt à servir son Roi. Il faisait ce qu’il avait à faire, mais n’avait pas abandonné l’idée de retrouver les agresseurs de ses parents. Toutefois, il avait dorénavant la maturité et le calme qui lui avait fait défaut à l’époque. Il ne ferait rien d’’insensé. Ce ne serait que chose futile qui ne lui ferait faire autre que des erreurs.
***
Le jeune noble ouvrit les yeux, et regarda où il se trouvait. C’était bien ses appartements, et il était allongé sur un canapé, un livre ouvert posé sur le torse. Le vampire en conclut qu’il s’était endormi sur sa lecture. Il posa l’ouvrage sur la petite table basse avant de passer une main dans ses cheveux blonds aux reflets de couleur caramel. Il resta assis quelque secondes, le temps de retrouver pleinement le monde dans lequel il vivait à celui des rêves. Depuis combien de temps n’avait-il revu cet incident en rêve ? Honnêtement, il aurait très bien pu s’en priver mais son subconscient semblait en avoir décidé autrement. Soit. Cela ne le troubla pas davantage. Le temps avait été témoin de sa maturité grandissante. Adam se leva et se dirigea à la salle de bain où il se passa un peu d’eau sur le visage. Puis, il releva la tête afin de faire face à un jeune homme qui de toute évidence avait bien grandi, aussi bien physiquement, que moralement. Il prit ensuite une longue veste qu’il enfila afin de sortir prendre un peu l’air. Adam Forsanz était à ce jour, un être, un noble, un vampire de sang-pur, de l'une des sept grandes familles, qui même s’il avait encore beaucoup à apprendre et découvrir, avait choisi son chemin. | Questionnaire QUE PENSEZ-VOUS DES LYCANS/VAMPIRES ─ Je me dois de surveiller les membres de mon espèce, cela au vu de mon rang. Quant aux individus lycanthropes, je n'éprouve nul animosité à leur égard. Personne ne choisit sa naissance mais qui devenir est un choix à porté de tout un chacun. QUEL EST VOTRE POINT DE VUE A PROPOS DES INFANTS ET DES SANG-MÊLES MAUDITS? ─ Je n'ai aucun avis particulier à leur égard. Ils sont parfois méprisés des purs-sang, mais le mérite provient des actes et non d'un nom, d'une race ou d'un sang. À mon humble avis, certains infants valent mieux que d'autres prétendus sang-pur. ÊTES VOUS SATISFAIT(E) DE VOTRE VIE ACTUELLE? ─ Parfaitement. SI NON, QUE VOUDRIEZ-VOUS CHANGER? ─ ... VOTRE POINT DE VUE SUR LE MONDE CONNU? ─ Dans cette époque, les gens ont une tendance un tantinet trop importante à mon goût pour les plaisirs de la chair et en manquent parfois cruellement de dignité. Mais les jeux de séductions et de pouvoirs sont étroitement liés et je n'ai aucune raison de vouloir changer les règles de ce monde. Je me contente simplement de vivre dans ce dit monde, à ma façon.
| | Joueur PSEUDO ─ / ÂGE ─ / SEXE ─ / LA COULEUR DE TON PYJAMA ─ / | |
|