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La fleur sauvage de la Vallée d'Aoste - Sofia Primavera -

Anonymous
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Profil Académie Waverly
La fleur sauvage de la Vallée d'Aoste - Sofia Primavera -  EmptySam 24 Sep - 6:12

Sofia Primavera

ÂGE ─ 22 printemps
ANNIVERSAIRE ─ 24 juin
OCCUPATION ─ Paysanne, vendeuse de fleurs à ses heures
ORIENTATION SEXUELLE ─ Hétérosexuelle pour ce qu'elle en sait
CLASSE SOCIALE ─ Fille du peuple
PAYS ─ Italie
RACE ─ Humaine
AVATAR ─ Lydia Carlton - Hakushaku to Yousei

Profil Psychologique

Sofia est une jeune demoiselle qui se caractérise sans équivoque par une joie de vivre plus présente que chez la majorité des gens, que ce soit de sa condition sociale ou non. N’entendons pas par joie de vivre quelque sous-entendu de vie intense et dangereuse.  Quel affront que de croire que le danger égal le bonheur. La jeune fille, tout aussi humaine que l’on peut l’être, née de condition modeste, est de cette rare portion de personnes innocentes, à savoir profiter de la vie dans sa forme la plus pure. Cette attitude tend à lui donner l’image d’une jouvencelle bien trop naïve ou encore dénuée de bon sens, d’éducation ou d’intelligence pour les moins polis. Il est vrai qu’elle peine à comprendre les difficultés de la vie.

Elle ne manque pour autant en aucun cas d’empathie, bien au contraire. Toujours encline à aider ses paires, elle serait aisément prise au piège par des individus malintentionnés. Appelons cela… avoir une faible notion du danger. Oui, c’est cela. N’ayant jamais vraiment rencontré les créatures de la nuit (pourtant elle y croit autant qu’elle croit aux fées, sorcières, dragons et toute autre créature. Et oui, elle y croit), elle ne se doute aucunement des dangers parcourant les rues et serait bel et bien capable de sermonner la plus vile des créatures sans avoir conscience de la folie de ses actes. Fort heureusement pour elle, ce genre de situations n’est encore jamais survenue mais assassin humains ou non, auraient ici trouvé une jeune femme tout aussi impétueuse qu’elle en devient un sujet de curiosité.

En effet, si son audace sans borne attise parfois bien les regards, il va de pair avec un besoin récurrent de s’exprimer face aux injustices. À croire que Sofia tient à cumuler les problèmes dans ce monde où les codes sont déjà établis et où ne pas savoir se tenir tranquille et se faire remarquer marque les débuts d’une vie tumultueuse. Mais si plus d’un individu s’est déjà ouvertement rit de sa personne, nul ne peut lutter contre cette dame à l’esprit chevaleresque qui sait également réchauffer les cœurs.

Aussi, la jeune fille ayant grandi dans la vallée, n’est pas une paresseuse.  Aidant, toujours avec le sourire, ses proches comme les personnes dans le besoin, elle a appris à travailler et aime ça. Elle ne conçoit  pas que l’on puisse ne pas s’appliquer à un travail car pour elle, chaque travail accompli du mieux possible est source de fierté. Cela ne l’empêche en aucun cas toutefois, de se laisser aller à la rêverie puisqu’elle demeure avant tout, une jeune fille dans la sublime vingtaine. Et si elle n’a jamais éprouvé de rancune vis-à-vis de sa condition sociale, Sofia aimerait malgré tout pouvoir expérimenter la vie à la cour. Mais seulement expérimenter car elle ne pense pas être capable de vivre une telle vie à chaque jour, ayant à l’heure actuelle une préférence pour la simplicité de la sienne. Conserver sa vie et pouvoir parfois revêtir une autre tenue quand l’envie lui prendrait. Telle serait Sofia à toujours prendre le meilleur de chaque monde, le meilleur de ce que peut lui offrir la vie.  
Histoire

Le ciel, d’un bleu éclatant et pourtant doux au regard, est dénué de nuages. Le ciel ainsi se marie aux champs, s’unit à eux dans le lointain horizon, partiellement dissimulé par les montagnes de-ci de-là. C’est l’été dans la Vallée d’Aoste d’Italie. Cependant, peu de personnes prennent le temps de contempler cette scène majestueuse. Trop occupés à leurs affaires, toujours trop pressés, comme s’ils désiraient réaliser le plus de choses possibles dans le temps qui leur est imparti. Ainsi sont les humains.

« Vis Sofia, ma chérie. Prends le temps de vivre et profite pleinement de chaque expérience ».

Ce principe qui lui avait été maintes fois répété, la jeune Sofia Primavera ne l’avait jamais oublié. Ceci, même après le décès de celle qui lui avait donné la vie.


La jeune demoiselle naquit un 24 juin lors d’une chaude journée d’été. Ce jour-ci comme les précédents, le soleil s’était levé tôt et avec elle, les parents de Sofia. À peine les premiers rayons apparus, la température déjà plus élevé qu’à l’accoutumée rendait les tâches en cette période plus pénibles. Aux heures les plus extrêmes, la chaleur était telle que les paysans se devaient d’arrêter leur travail sous peine d’une insolation qui les aurait retardés. Sur le pas de la porte de la maison des Primavera, une femme aux longs cheveux châtains relevés en un chignon qui laissait pendre quelques mèches de part et d’autre de son visage. Son visage bien que marqué par les traces d’une vie de travail, n’en laissait pas moins constaté des traits délicats et la beauté de quelque fleur sauvage. Cette femme portait à son côté une bassine de linge qu’elle se donnait pour mission d’aller nettoyer aujourd’hui, au ruisseau le plus proche. Tout en portant sa charge, elle faisait attention à ne pas heurter son ventre, arrondi par la présence d’une vie qui y reposait depuis déjà plusieurs mois. Toutefois, elle ne parcouru pas une dizaine de mètres qu’elle lâcha sa bassine pour mieux entourer son ventre de ses bras. Son jeune garcon, âgé de 5 ans, qui revenait à ce moment-là parce qu’il avait oublié sa pitance du déjeuner courut, affolé, vers son père qui l’attendait plus loin. La jeune Sofia avec décidée qu’aujourd’hui serait le jour de sa venue sur cette terre pleine de mystères.
Douze étés s’étaient écoulés depuis cet heureux évènement et Sofia avait déjà beaucoup grandi. Suivant sa mère partout où elle allait, aidant toujours avec plaisir et ravie lorsque cette dernière la récompensait d’affectueuses embrassades ou de caresses dans les cheveux. Sofia était une enfant très dynamique, un grand sourire toujours aux lèvres. Elle usait toujours de son surplus d’énergie en essayant d’accomplir des tâches parfois trop compliquées pour elle. Nous passerons les quatre cents coups que cette enfant a pu réaliser. Jamais rien de bien méchant mais parfois trop imprudente. Oh combien de fois son frère dû la relever alors que celle-ci souhaitait aider aux champs. Ce genre de choses arrivaient tant à la maison que lorsqu’elle se rendait au marché, ce qui lui avait valu d’être le centre d’attention à plusieurs reprises. Pour sûr, au village, la demoiselle s’était fait un nom. Néanmoins, tous l’appréciaient et il n’était pas rare lorsqu’elle fut en âge de faire des commissions seule, qu’elle rentra avec quelques pommes de plus offertes par le marchand ou encore un paquet de biscuit en remerciement de l’aide qu’elle apportait.

Quoiqu’il arrive, Sofia faisait en sorte de toujours faire de son mieux, de sourire et surtout comme sa mère lui avait appris, de profiter de la vie. En ce sens, la mère avait toujours pris le temps d’intéresser sa fille aux beautés de la vie, dans toute sa splendeur. Souvent sur le retour du lavage des habits ou encore sur la route des commissions, toutes deux s’arrêtaient et prenaient le temps de regarder autour d’elles. Il n’était pas rare pour Sofia de savoir trouver des criquets à l’été, de voir les oiseaux et les écureuils à travers les arbres, de profiter de la musique que jouait la rivière, de s’attarder sur le sourire des autres villageois au marché. Toutes ses petites choses il était si aisé de passer à côté et qui pourtant, faisait à chaque fois, battre le cœur de la jeune fille, de vives émotions.

Rien n’avait jamais réellement pu entraver ce bonheur car avec le sourire de ceux qui lui sont chers, Sofia avait réussi à passer outre même les périodes où les récoltes ne se montraient pas satisfaisantes, amincissant les réserves pour les temps durs. Toutefois, ce soir, la jeune femme allait faire face à une épreuve sans précédent. Alors qu’elle rentrait d’une course, elle trouva son père et son frère assis  à proximité du lit de sa mère. Elle s’approcha, perdant son sourire coutumier. À cet instant, l’enfant en elle réagit cherchant une explication, un signe qui saurait la rassurer et apaiser ses odieuses craintes.

- Maman ?

- Ah Sofia ma chérie, tu es rentrée. Tout s’est bien passé ? Tu n’as pas eu de soucis en route ?

- Je vais bien mais toi ? Pourquoi es-tu couchée ? Tu ne te sens pas bien ?

Effectivement, si la question était celle d’un enfant, le visage plus pâle et creusé de sa mère laissait penser que son état n’était pas des plus vigoureux. Cependant, celle-ci sourit, ce qui eut pour effet immédiat de rendre son sourire à sa fille qui vont se blottir contre elle. Son père et son frère se détendirent à leur tour devant cette scène attendrissante et ce premier en profita pour aller préparer le repas afin que sa femme puisse rester au lit.

- Ce n’est rien. Juste quelques moments de fatigue. Tu sais Sofia, je ne suis pas aussi jeune et énergique que toi. Il me faut parfois du repos. Mais surtout, il me faut le sourire de ma fille. Alors promets-moi de ne plus afficher une expression aussi soucieuse à l’avenir !

En réponse la demoiselle sourit, dévoilant toutes ses dents, ce qui fit rire doucement la malade. Sofia et son frère continuèrent le reste de la soirée à amuser leurs parents de plus d’une pitrerie.

Quelques mois plus tard, la mère de Sofia décédait…

Malgré sa promesse, elle restait une enfant et la jeune orpheline de mère avait pleuré sur la tombe de celle-ci. Elle avait pleuré toute la journée et avait pleuré durant plusieurs jours encore. Mais durant toute cette période, elle repensait aux dernières paroles prononcées par la défunte, la veille de sa mort.

« Vis Sofia, ma chérie. Prends le temps de vivre et profite pleinement de chaque expérience ».

Alors dès le lendemain, elle s’était remise au travail et avait repris courageusement les tâches de sa mère, à la grande surprise de son père et son frère qui bien qu’affecter par le décès, étaient en âge de comprendre la dure réalité de la vie. Ainsi, ce comportement les ayant pris au dépourvu mais comprenant que cette enfant était résolue, ils décidèrent de lui en dire davantage sur les circonstances du décès. C’est de cette manière que Sofia appris que sa très chère maman avait succombé à une maladie que les médecins de leurs campagnes ne savaient guérir et que du fait de leur condition de paysans, ils n’avaient pu lui offrir meilleur soins ou nutrition qui aurait pu éventuellement éviter cette tragédie. Nul ne sait si à ce moment, elle acquiesça parce qu’elle acceptait la situation ou si elle avait en ce jour, compris que le monde était plus complexe que ce que sa mère lui avait enseigné. Quoi qu’il en soit, personne ne la revit pleurer depuis. Elle avait retrouvé son sourire comme si de rien n’était et chacun au village ayant appris la nouvelle, se demandait si elle allait effectivement bien. Et toujours la jouvencelle répondait et parler avec sourire de sa mère, préférant conserver son bon souvenir et tous les moments chaleureux qu’elle avait vécu. Elle, qui comme la plupart de ses congénères, était très croyante, la savait au royaume de Dieu, désormais protégée à jamais.  

- Et fais bien attention à toi Sofia !

- Antoine cher frère ! Ce n’est pas la première fois que je me rends en France ! Cesse donc d’être aussi protecteur.

- Comment veux-tu que je ne le sois pas ?! Ma petite sœur qui n’a que 22 ans et qui se rend à chaque année pour aller dans un autre pays ! Si père n’avait pas besoin de moi aux champs, sois sûre que je t’aurais accompagnée !

L’intéressée leva les yeux au ciel mais se sentait attendrie devant autant d’amour fraternel. Elle l’enlaça une dernière fois avant de monter dans le chariot et de prendre les rennes, se mettant en route avant que son frère n’en rajoute. La jeune fille avait effectivement pris l’habitude de se rendre parfois en France pour y vendre des fleurs et en profitait pour admirer le pays. Cela faisait déjà 5 ans qu’elle avait quitté de la zone connue du village pour s’aventurer plus loin. Elle avait appris que la Vallée était le passage obligé pour se rendre plus au Sud en Italie ou dans d’autres pays. Ainsi, il n’était pas rare de voir des étrangers emprunter cette voie, dont souvent des nobles. Ce furent ses premiers contacts, de loin, avec des membres d’une classe sociale supérieure. Parfois, elle les observait, jamais encore elle n’avait adressé la parole à l’un d’eux. Mais peut-être que durant son voyage, cette fois-ci, les choses seraient différentes.
Questionnaire

ÊTES-VOUS AU COURANT DE L'EXISTENCE DES VAMPIRES ET LYCANS? ─ Sofia croit bel et bien en l'existence d'autres entités autres que les humains, tels les vampires et lycans. Mais elle est également persuadée que quelque part existent des fées, des nymphes, des licornes et toute autre créature qui se dissimilent à la vue des humains.
QUE PENSEZ-VOUS DES LYCANS/VAMPIRES ─ À voir au cas par cas. En effet, même en confirmant l'existence des créatures de la nuit, elle ne serait pas du genre à discriminer une race en faveur d'une autre. La personne sera sous son regard jugée en vertu de ses actes et intentions.
QUEL EST VOTRE POINT DE VUE A PROPOS DES INFANTS ET DES SANG-MÊLES MAUDITS? ─ Encore une fois, en considérant qu'elle est confirmé l'existence de ces êtres, elle trouverait juste sublime une telle mixité et trouverait que ces personnes auraient de quoi être fières de leur de moitié parce qu'elles ont la chance d'avoir une part des deux.
ÊTES VOUS SATISFAIT(E) DE VOTRE VIE ACTUELLE? ─ Oui oui, tout à fait docteur. Aimer rêver à d'autres choses n'empêche aucunement d'apprécier pleinement la vie que l'on a actuellement.
SI NON, QUE VOUDRIEZ-VOUS CHANGER? ─ ...
VOTRE POINT DE VUE SUR LE MONDE CONNU? ─ Le monde est vaste, plein de mystères et il ne demande qu'à nous parler. Sofia aimerait continuer à découvrir le monde, différents lieux pour en percer tous les mystères et jouir de sa beauté.

Joueur

PSEUDO ─ Comme vous voulez !
ÂGE ─ Bientôt les 20 ans
SEXE ─ Fille
LA COULEUR DE TON PYJAMA ─ Euuuhh, joker ?
Mezariel D. de SaintLouis
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Mémoire de vie
Race: Infant
Métier/Rang: Marquis
Statut amoureux: En couple
Profil Académie Waverly
La fleur sauvage de la Vallée d'Aoste - Sofia Primavera -  EmptySam 24 Sep - 8:56
HIIIIII SOFIAAAAA EST TOUTE CUTE ♥
Welcome here officellement 8DDDD
Anonymous
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Profil Académie Waverly
La fleur sauvage de la Vallée d'Aoste - Sofia Primavera -  EmptySam 24 Sep - 13:06
Hiiiiiiiiiii Meza est trop beau *-*
Merci officiellement !

(Pas taper si la fiche n'est pas de qualité. Ca m'a vraiment rouillé de rester sans écrire pendant longtemps. Je reprendrai la main avec le temps quand j'aurai recommencé à RP =3)
Mezariel D. de SaintLouis
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Mémoire de vie
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La fleur sauvage de la Vallée d'Aoste - Sofia Primavera -  EmptySam 24 Sep - 15:46
VALIDATION

Mais qu'elle est cute, Sofia! ♥
J'ai grand hâte de la voir évoluer en RP moi 8D

La fleur sauvage de la Vallée d'Aoste - Sofia Primavera -  617164chibimeza


Passons! Tu as passé le test d'entrée, faisant donc de toi une HUMAINE CITOYENNE, encore bravo!
Tu peux dés à présent aller recenser ton avatar, chercher des partenaires de rp et poster une fiches récapitulative de tes relations si cela te tente!

N'hésites pas, également, à apporter ta pierre à l'édifice d'Ex-Cathedra, nous fondons beaucoup d'espoir sur toi!
Profites de ta jolie couleur ♥
Contenu sponsorisé
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