| InvitéInvité |  Mer 27 Sep - 21:31 Me | Prénom - Isabellà ÂGE ─ 38 ans ANNIVERSAIRE ─ le 07 août ORIENTATION SEXUELLE ─ Bi, OCCUPATION ─ Paladine au Service du Saint Pape PAYS ─ Italie CLASSE SOCIALE ─ Roturière RACE ─ Humaine AVATAR ─ Baiken de Guilty Gear (retouché) Profil Psychologique
Les ordres forment le caractère, mais rien ne pourra outrepasser la volonté même le Seigneur et ses saints écriture qui correctement instruite aux roturiers font d'eux des guerriers prêts à se battre pour Dieu.
Mais il ne faut pas faire fi du passé et la « Paladine » se souvient très bien de celui ci, de la rue, de la crasse, de la prostitution, des hommes le matins, le midi et le soir, de l'alcool, des coups. Tout le monde porte ses fardeaux, certains sont plus visible que d'autres, Isabellà ne fait pas exception.
Physiquement handicapé, il lui manque le bras gauche, elle n'en demeure pas moins un jolie brin de femme sous cette cicatrice à son œil droite et les nombreuses faites au combat, une poitrine rebondit et imposante, plaqué sous sa plastron de cuir, une peau légèrement halé, deux yeux verts émeraudes pétillants et pourvu d'une abondante chevelure noire qu'elle coiffe avec attention.
Elle n'en demeure pas moins mentalement perturbée. Elle a peur de se retrouver seule et souffre d'agoraphobie, préférant des ruelles discrètes aux grands espaces.
Son entraînement militaire au sein de l'ordre lui a permis de développer un mental de soldat, distinct de celui de la douce femme qu'elle est, lui donnant la capacité de tuer sans pitié, et combattre toute une journée pour survivre à tout prix. Sa vie en couvent a développé son empathie déjà forte, son amour de l'autre et de manière plus étonnante, le pardon et la rédemption.
Son passé l'a également vite rattrapé et hors du périmètre de son ordre, la femme est chaleureuse, bois en toute impunité, fume même un peu et n'est pas pudique. Elle aime la danse et le chant, le sexe n'est pas un tabou et si le désir l'en prend, elle verra ce qu'elle en fera.
| Histoire
Journal d'Isabellà Sophia Elianostra :
Naissance ~
Née simplement Isabellà, mes parents ont ouvert un commerce à Venise. Mon père, chapelier de son état, créait et tissait des chapeaux que ma mère vendait dans le magasin. Il avait emprunté la somme pour son commerce auprès d'un bourgeois qui traînait dans des affaires illégales.
Malheureusement, les affaires n'allèrent pas bien rapidement, et pour payer l'homme : je fut vendu à onze ans comme prostituée. J'ai été violée, humiliée, battue, torturée... à dix-sept ans, on me frappa avec une lame au visage, qui devint effrayant à la vue des autres clients, je fus jeter comme une ordure totalement nue à la rue. Je dus fuir les forums pour les ruelles, me nourrissant de vols et larcins, recelant, consommant, buvant, me prostituant pour survivre et petit à petit trouver un sens à mon existence jusqu'à ce qu'Il vienne me parler.
Dieu ~
Alors que je m'apprêtais à commettre un nouveau larcin, j'ai été aveuglée par sa lumière, et Il m'a parlé, moi, enfant de la rue et horrible souillon, moi rejetée de tous sauf de lui. Vie de combats perpétuels pour ma survie, cesser de voler pour mon seul profit et devenir un de ses émissaires. Il m'a montré des terres, le chemin du pèlerinage vers Jérusalem, là, je pourrais comprendre pourquoi Il est. J'ai alors tout quitté, quitté ma rue, ma cachette, mes vols et mes quelques fortunes, pour rejoindre le Vatican avec le peu d'argent qu'il me restait et dut tout abandonner ce qu'il me restait pour avoir entrer dans le plus saint des saints. Reçue, surprise, par un cardinal, je lui expliquais quelle était ma venue, je devais rejoindre Notre Seigneur et partir pour Jérusalem. Le Cardinal fut compréhensif; je fus admise comme sœur, et dut d'abord rejoindre le couvent pour devenir une femme au service de Notre Seigneur. J'y reçu une éducation stricte et propre à l'église, d'une souillon je devins une servante de Dieu et malgré mon incapacité à suivre toutes leur règles, j'appris tant avec elles, trouvant de la paix à coté de l'enfer que j'ai quittais. Nous visitâmes Lourde et Compostelle en pèlerinage, si les hommes vénèrent d'avantage Dieu et ses bienfaits, notre mère supérieure priait d'avantage la vierge Marie. A notre retour, je fus chargé de différentes tâches, je devais soigner les malades, prier et m'occuper de l'école. J'appris ainsi avec les enfants pendant un temps et ce fut à vingt-six ans, qu' Isabellà devint Sophia, la sage.
Pélerinage ~
Je partie pour Jérusalem, enfin, grâce à notre saint père qui nous permis d'y aller pour notre pèlerinage. Le voyage pu se faire sans encombre jusque là bas, et nous rencontrâmes des missionnaires, des croyants, des prêtres, des soldats, des ottomans, des juifs, c'était la première fois que je quittais l'Italie et sa sainteté, partant découvrir le monde, les barbares étrangers, les enfants partout ailleurs qu'ici, parlant d'autres langues, je comprenais le grec, un peu l'anglais mais heureusement avait du apprendre l'arabe pour approfondir ma connaissance du Coran. Ainsi, je comprenais également cette langue riche et culturel, je me voilais les cheveux comme le voulait leur coutume et pu même discuter avec des hommes. Le Voyage fut périlleux par moment, chacun devait être manuel, endurant mais tous mirent la main à la patte à sa hauteur de ce qu'il pouvait pour atteindre notre destination, les femmes n'étaient pas en reste, les sœurs portaient autant que les hommes et même la mère supérieure portait son fardeau. Le voyage dura un total de neuf mois et nous fêtâmes la Noël à notre arrivée. J'appréciais cette vie, ces moments de plaisir et de détente alors que nous entrions dans Jérusalem.
Révélation ~
Alors que nous priions tous ensemble, quelques soit notre culture, il me parla à nouveau, pourquoi étais je là ?. Pourquoi cette instant ? Mon corps me paru lourd, ma tête se remplissait d'images, d'horreurs, de cauchemars, de cris et de larmes de mon passé ; cette soudaine lumière éblouissante apaisante brûlait mon corps et je sentis ma tête heurtée le sol. Mon âme lévitant hors de celui ci, L'épreuve ne faisait que commencer, je devais devenir son bras armé, et vaincre ses ennemis. A mon réveil, on m'annonça que j'avais dormi deux jours, j'eus l'impression de m'être assoupie que deux minutes. Nous étions sur le voyage du retour, et ce fut alors que je compris ce que lui, avait voulu me dire. Ce danger n'était pas les autres, il était déjà là, à nous épier et ce fut alors que j'étais si confiante en mon destin, qu'Il me rappela à lui.
Elianostra ~
L'attaque fut brutal et nocturne, notre garde se fit massacrer en à peine dix minutes, ces gens que mes sœurs fuirent du regard, tentant de se réconforter dans la prière, je les vis : bougeant, attaquant, se mouvant si rapidement, j'attrapai instinctivement un couteau du boucher, un hachoir imposant qui devait faire au moins un kilo, mais je ne fit qu'un tour avec mon chapelet pour fixer le couteau dans ma main, ces créatures étaient plus forte que nos hommes, je ne pouvais pas être plus faible que ça, plus fragile... Il était trop tôt, pas après ce qu'il avait voulu que je vois. Le chariot fut renverser violemment par un homme seul, si fort, et je put dissimuler mon arme dans mes manches. Une à une, ils nous arrachaient du chariots pour nous mordre, je vis la mère supérieure se faire ainsi assassiner sous mes yeux, son regard m'implorant, et moi si faible. Ce fut alors mon tour, mon collier m'évita la morsure à la gorge, mais la créature ne perdit pas de temps, cherchant mon bras pour me mordre, je me défend et le gifle, il cri de rage et me gifle à son tour mais je tiens bon, je ne suis pas une faible femme, je frappe de l'autre main, le couteau file, le coup est sec, sans pitié dans mon regard alors qu'il est surpris de ce coup et tombe mort par la sainteté de ma lame en argent du Vatican. La méfiance se fait parmi les créatures de la nuit qui s'arrêtent et finissent par tous m'observer. Elles sont trois restantes, leurs yeux rouges, elles ne semblent pas habituées à devoir affronter une adversaire. Je cours vers le mobilier de cuisine pour chercher les couteaux du boucher étaler par terre et près du chariot. On me rattrape et m'agrippe au bras, je frappe instinctivement dans le vent, on me voit venir maintenant. La peur m'envahit, mon Dieu ne m'a pas préparé à ces créatures. Je suis jeté par terre, et frappé aux côtes, elles ne semblent pas vouloir me tuer comme elles ont tué les hommes, ces êtres sont il sadique à ce point ? Je ressert ma garde et frappe alors dans sa jambe le faisant hurlé de douleur. Je comprend, ils sont arrogant et sûr d'eux. Je profite de sa souffrance pour l'achever en frappant sa poitrine et me remettre rapidement en garde, le laissant tomber mort à mes pieds.
Le nouveau était déjà là, frappant mon visage, profitant de mon angle mort, je faillis, mon corps lourd est étonné par ce coup, il m'attrapa par mes cheveux pour me bloquer, le hachoir ne me quittât pas et tranchât ma chevelure pour me libérer rapidement, surprenant encore une fois la créature qui ne pu hurler quand la lame lui trancha le pied en deux avec toute la force dont je pouvais faire usage, son cri de douleur termina de me faire entrer dans cette concentration si spécifique au guerrier, il m'attrapa le poignet et se brûla sur mon chapelet me laissant encore ce timing pour frapper et lui enfoncer le hachoir en travers de sa cage-thoracique, alors je sentit une douleur, la douleur... la morsure, du dernier qui venait de me saisir le bras et mordre. Je sentis mon sang me fuir, sentis cette souffrance que la mère supérieure avait ressentit quelques instants avant... sentit la peur de mourir, sentit ce que cette créature faisait. Il me bloqua l'autre bras du sien et me plaqua sous son poids. Faible humain sous son poids, il ne venait pourtant de renverser la mauvaise prostituée, habituée à sentir le poids d'un homme sur soi. Mon mouvement fut naturel, il se retrouva seul et mon coup à sa hanche entailla la chair tandis qu'il serra mon bras gauche de toute sa rage, le broyant le déchirant alors que je frappai également avec tout ce qu'il me restai et jusqu'à ce qu'il ne rende son dernier soupire au seigneur, ne laissant de mon bras qu'un morceau de chair horrible et difforme, brisée qui ne tarderait pas à gangrené et pourrirai . La douleur n'était pas là, mon coup fut brusque, mon bras tomba en moins d'un instant sous ce dernier coup de hachoir et là, enfin, l'adrénaline me quittant, mes sens revenant, je sentis la douleur et m’effondrai mollement. Ce ne fut que de longues heures plus tard que je me réveillais, dans un lit, dans une charrette, les survivants avaient pris la relève, mon bras tranché sentait le brûlé et était solidement bandé. Le retour se passa à son rythme, j'apprendrai à vivre sans ce bras comme j'avais appris sans cet œil. Quand nous entrâmes à Rome, nous étions le 15 aout et je venais d'avoir 30 ans. La Vierge Guerrière qui pourfendit le mal, a dit une sœur, elle me connaissait bien mal, Isabellà, Sophia, Elianostra, notre Déesse.
Rédemption ~
Ce fut le Pape lui même qui nous reçûmes, moi, mes sœurs, les survivants, les blessés, les martyrs et les missionnaires. L'ont échangea sur les événements, l'allée, le retour, les créatures, mes visions, moi.
Je n'étais pas sereine, je me sentais coupable de l'avoir su mais de ne pas avoir pu. L'ont me rassura, si le Seigneur m'avait ainsi éclairé, alors c'est que je devais agir pour lui et c'est ainsi que me fut présenté, un des ordres de chasseurs au Service du pape, je devin « Paladine ». Des Guerriers, religieux, entraîné et préparé à affronter les créatures de la nuit. En les intégrant, je compris vite que j'allais devoir apprendre rapidement; mon bras et mon œil absent m'handicaperaient, mais j'avais l'intention de m'entrainer quatre fois plus. Si ils avaient la force de cents hommes, j'obtiendrais celle de quatre cents et si une créature pouvait en vaincre, aucune d'elle ne devrait me blesser. Alors, commença mon entraînement. Je fut formé au combat à une main et l'ont m'offrit une épée bâtarde tout ceci dut rester discret, je donnais ainsi toujours cours à des enfants. Je fut entraînée au combat à distance et au lancé, viser avec un œil devint de plus en plus simple jusqu'à être capable d'atteindre des cibles mobiles avec des couteaux et des haches que je lançais de ma main droite. Rompu au combat, je fut également tatoué de saintes écritures et prières sacrée, protégeant mon corps du malin, mon collier fut mon meilleur ami, bijoux en argent ornèrent mes doigts et mon chapelet entourait ma main en permanence, maintenant mon hachoir dissimuler en cas d'urgence. Une armure de cuirs solide sous ma robe devint mon lot, une ceinture de force fut verrouiller autour de mes hanches et sous la robe, un pantalon ample me permettait de me débarrasser de la robe en un instant sans me compromettre. Sans les compromettre face à une femme. Je n'oubliais pas d'où je venais. L'église me payait pour mon travail et je travaillais bien pour elle, j’aidais ainsi les prêtres durant les mariages, enterrements et baptêmes. Pour mon église, j'offris ainsi huit ans de ma vie, tout en m'offrant à mes loisirs sans rides, boire avec des hommes, chanter et danser avec eux, partager le bonheur et leur chaleur, certains même éveillèrent mes envies. J'appris vite que mon culte était avant tout une philosophie et des idées et mon Seigneur là haut, mon guide car chaque jour je le prie pour m'avoir guider de la rue jusqu'ici. Quand à la chasse... je connu la défaite de nombreuses fois à mes débuts, mais appris du Loup : sa sauvagerie et son instinct, mais aussi son charisme et sa fierté, du Vampire, j'appris sa force et son intelligence mais aussi sa beauté et son charme. A ce jours, j'ai tué plus de Vampire et de Loups que tout mes confrères réunis, mais je n'aime pas les tuer, à perdre contre eux, j'ai appris à les connaître et même les apprécier et comprendre que tous n'était pas des monstres (voir lien potentiel) Mais chaque jour a sa peine et grâce au Seigneur, je vis et le sers pour sa gloire.
Amen ~
| Questionnaire ÊTES-VOUS AU COURANT DE L'EXISTENCE DES VAMPIRES ET LYCANS? ─ oui mais cela reste un sujet très discret au sein de l'église.
QUE PENSEZ-VOUS DES LYCANS/VAMPIRES ─ Je les apprécie à la finale, mais je devrais purger ceux qui dépasseront les limites
QUEL EST VOTRE POINT DE VUE A PROPOS DES INFANTS ET DES SANG-MÊLES MAUDITS? ─ Y a t il une différences avec les Originaux ? On frappe dedans, ça meurt.
ÊTES VOUS SATISFAIT(E) DE VOTRE VIE ACTUELLE? ─ Evidemment
SI NON, QUE VOUDRIEZ-VOUS CHANGER? ─
VOTRE POINT DE VUE SUR LE MONDE CONNU? ─ Si peu de temps et tant de choses à voir.
| | Joueur PSEUDO ─ Jeuvodent ÂGE ─ 30 SEXE ─ HOMME LA COULEUR DE TON PYJAMA ─ Je n'en porte pas | |
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