| InvitéInvité |  Sam 23 Sep - 14:54 | Viktor Borisovitch Opokin ÂGE ─ 18 ans ANNIVERSAIRE ─ 28 avril ORIENTATION SEXUELLE ─ Gay-romantique et assexuel. OCCUPATION ─ Actuellement employé d'une libraire bibliothèque. PAYS ─ Russie CLASSE SOCIALE ─ Aristocratie RACE ─ Vampire Infant AVATAR ─ 9S de NieR: Automata Profil Psychologique Viktor est quelqu'un d'assez élégant et agréable à vivre. C'est quelqu'un de très doux et aimable souhaitant brusquer personne ni en blesser (même si certaines de ces remarques peuvent paraître dures, c'est plus par naïveté de parole que par envie). Il est cependant assez distant avec la presque totalité des gens qui l'entoure, mais une distance presque pas désagréable tant son ton est agréable et bienveillant.
C'est donc un aristocrate respectable, agréable mais ce n'est pour autant pas le fils parfait pour une famille de bourgeois classique. Pourquoi me diriez-vous? Il ne pourra jamais avoir de descendance... car il n'aime aucunement le corps féminin. Et c'est ce qui fait que ces parents regretteraient presque de l'avoir eu lui et pas un autre malgré son apparence gentillesse.
Niveau sentimental, c'est là où les choses deviennent plus compliquées... du moins, en théorie, car la vie sentimentale de Viktor n'est pas la première chose qu'il espère faire de sa vie, loin de là. Comme dit précédemment, il est homosexuel, et ce depuis ces 14 ans. Il a appris à vivre avec cette particularité mais un problème lui est apparu alors: Il n'apprécie pas l'aspect charnel dans une relation. Bien loin du jugement que pose la religion sur la sexualité, il préfère cependant l'aspect émotionnel et sentimental d'une "histoire d'amour" et aimerai se priver le plus possible de toutes relation charnelle et sexuelle. (il n'aime pas cet aspect, c'est un fait)
Mais malgré son calme constant, c'est quand il est épris de sentiments amoureux qu'il change complétement d'état psychologique: Il devient beaucoup moins distant envers la personne, beaucoup moins "renfermé" envers cette personne et il devient extrêmement protecteur, voire agressif si on dit quelque chose de mal envers son "ami". Il est cependant pas tellement possessif (bon, faut pas essayer de se faire son copain sinon ça risque d'être dangereux mais sinon il est pas trop possessif)
Le fait qu'il soit très calme et silencieux ne signifie pas qu'il est stupide ou naïf, il comprend très rapidement tout ce qui se passe autour de lui et sa bonne ouïe lui permet d'écouter facilement les messes basses de personnes pas trop éloignées, chose qu'il fait très souvent pour éviter une mort difficile est douloureuse. | Histoire -PROLOGUE-
"Mère? Pourquoi partez-vous? Je vous en pris, me laissez pas, je peux être ce que vous souhaitez mère! Mère? Maman!"
Je me réveilla en sursaut, des gouttes de sueur perlant sur mon front. Pourquoi je pense à ça très sérieusement?; pensais-je, blasé à cause de ce réveil brutal et pas spécialement agréable. Je me mis à regarder par la fenêtre pour voir si le soleil s'était levé et je vis qu'il était à peine en train de le faire. "Bon, vu que je suis réveillé, autant me préparer, d'autant plus que j'ai à faire aujourd'hui" ; disais-je à voix haute pour me donner de l'entrain. Je pris des vêtements, une chemise blanche classique, une veste longue prune et un pantalon taillé un peu large de la même couleur. Je partis de ma chambre d'un pas léger après avoir ouvert la fenêtre qui donnait sur la petite rue séparant ma maison de celle d'une amie, plus modeste. J'arrivais donc à l'étage inférieur et je me mis en direction de la cuisine, une bougie en main pour voir plus clair dans cette maison bien trop grand pour quelqu'un de seul, de plus la maison étais très peu meublé et décorée, rendant l'aspect... inamical. En arrivant dans ma cuisine, j'alluma une bougie plus massive pour avoir une lumière plus importante et j'éteignis ma bougie "de poche", et je mis de l'eau à chauffer en allumant le Samovar pour préparer mon thé matinal. Je pris mon thé et des Prianik et je me posa devant la fenêtre menant à la maison de Cléopatra et je me concentra longuement pour réussir à lire l'heure marquée sur le cadran solaire. "Il est... 6... non, 7 heure... et quart, je dirai" disais-je à haute voix pour me permettre de mieux me concentrer, quand une apparition capta mon regard: c'était Cléopatra qui rentrait chez elle. "Mais qu'est-ce qu'elle pouvait bien faire encore dehors... tout compte fait, je n'ai pas spécialement envie de savoir." Dis-je à haute voix. Je pensais, en finissant mon repas du matin, qu'il fallait que j'ailles à un rendez-vous avec des connaissances vers 1 heure et quart de l'après midi et qu'il fallait que je trouve rapidement de quoi subvenir à mes moyens sans courir les remparts de Rome. Je pris donc rapidement mes chaussures de ville classiques, plus passe partout que mes bottes, et je partis faire le tour des boutiques où j'aurai pu me rendre utile. Un libraire, intéressé par mes compétences linguistiques (je sais parler couramment le russe, l'italien, l'anglais, le français et j'ai de très bonne notions d'allemand), m'as donné un travail en temps que traducteurs d'ouvrage et en temps qu'interprète si un étranger venait à rentrer dans son magasin. Je pourrais donc maintenant vivre seul... sans mère...
-CHAPITRE I : MOSCOU-
Viktor est né un Lundi 28 Avril d'il y a maintenant 18 ans. Il est le fils unique d'une famille de bonne bourgeoisie de part le côté de son père, artisan bijoutier de renom de père en fils, et ce depuis de nombreuses générations, expliquant en partie la solide renommé qu'ils ont. Son père, Boris Vladimirevitch Opokin, qui gère actuellement la boutique, est un petit homme d'un mètre soixante trois possédant une musculature très fine et des cheveux d'un blond pâle, et d'une imagination sans faille lui permettant de toujours trouver de nouvelles choses à fabriquer, faisant fonctionner la boutique, choses toujours aussi uniques les unes que les autres. Sa mère, Anatasiya Stanislavovna Filtchenkov, vient cependant d'une famille de petite bourgeoisie remplie de marchands en tout genre mais très peu reconnu en quoi que ce soit. C'est une magnifique femme d'assez petite taille, d'un mètre cinquante six, possédant très peu de formes "féminine" dû à sa très forte finesse physique. Elle possède deux caractéristiques assez rare: premièrement elle possède, et ce depuis toujours et comme sa mère et ses ancêtres, de long cheveux lisses et blancs comme la neige. Sa deuxième caractéristique et celle d'avoir une peau d'une pâleur extrême depuis sa naissance dû à son sang vampirique. Ces caractéristiques se retrouvent sur Viktor qui possède donc une taille inférieur à la normale et assez assez filiforme (il fait un mètre cinquante huit pour 44 kilogrammes), il possède les cheveux blancs de sa mère et la moitié de son sang est celui d'un vampire.
Son enfance s'est donc déroulée dans la ville de Moscou, avec ses parents. Il a eu une éducation extrêmement riche en terme de contenu si bien qu'il apprit à parler plusieurs langues couramment en l'espace d'à peine treize ans, il apprit aussi les manières de courtoisie pour pouvoir converser avec des bourgeois et des nobles. De plus, ses deux parents connaissant ses attributs "vampiriques", ils lui apprirent à combattre à mains nues et avec des armes diverses comme la dague, le couteau ou la rapière et à utiliser les compétences adverses pour le contrer. En bref, il était préparé à tout ce que la vie pouvait lui envoyer comme épreuves, aussi bien diplomatiques que dangereuses. Son père essayait de son côté de lui apprendre à confectionner des bijoux, seule chose qu'il échoua dans son éducation par ailleurs, tandis que sa mère lui apprenait l'art plus sombre de la traque pour se nourrir, chose... vitale, il va sans dire. Le temps entre ses deux parents était égales et mais il aimait cependant plus sa mère que son père, qui était plus sec et vulgaire avec lui à cause de son incompétence à travailler les métaux et pierres précieu.ses.x.
A partir de sa quinzième année, il prit part activement aux soirées mondaines où il allait avec ses parents, car si avant il y allait aussi il restait uniquement du côté des enfants sans avoir aucuns problèmes à se poser, et il participa, assez calmement, aux discussions au sujet de la société, des problèmes commerciaux et de la vie en général. C'est à partir de ce moment là que ses parents le poussèrent à trouver rapidement une future compagne parmi la moyenne et haute bourgeoisie, voire avec la noblesse (car il y avait une petite partie de nobles qui participait à ces soirées) en priorité si elle n'était pas déjà prise. Viktor chercha donc des personnes qui l'intéressaient en tant qu'amantes, mais aucune filles bourgeoises, aristocrates ou nobles ne l'intéressait. Au mieux, il en trouvait certaines jolies, drôles, touchantes voire intéressantes, mais aucunes ne l'intéressait en temps qu'amante. Au bout de plusieurs soirées, il se fit 2 amis: Zoya Lazarovna Iojine, une fille d'aristocrate de seize ans et Igor Eduardovitch Ignatiev, un jeune noble de dix-sept ans. Ils devinrent amis et passèrent énormément de temps ensemble, aussi bien en soirée mondaine que en promenade. Cependant, quelques mois plus tard, la mère de Viktor lui demanda de venir et une conversation démarra "Alors voici notre enfant, Viktor. Vous pouvez constater que nous n'avons pas menti à propos de lui. Si vous avez des questions à lui poser, vous pouvez en poser autant que vous le voulez. Dis Anastasiya à trois personnes, des parents et leur fille, en gardant sa main sur l'épaule de Viktor, qui la regarde d'un air suspicieux.
-Merci bien. Alors Viktor, qu'est-ce que tu aimes faire dans la vie? Demanda la femme qui étais sûrement la mère de la jeune fille.
-Alors, j'aime beaucoup visiter notre magnifique cité, j'aime aussi énormément apprendre les langues d'Europe comme le Français, l'Italien ou l'Anglais. Après, j'aime bien converser à propos de notre magnifique pays et des différentes cultures. Répondis-je, presser de savoir pourquoi des nobles voulaient me parler."
S'en suit alors une série de question plus dérangeante et ennuyeuse les unes que les autres, s'en vient alors la fin de la conversation qui changea pour toujours ma vie."Alors, vous pensez que notre accord peut être fait? Demanda avec une grand sourire ma mère, pressée de voir la réponse
-Je pense que oui, mais je dois juste poser encore deux dernières question. Est-ce que ça tu serai fier d'être marié avec notre fille et serais-tu un bon mari? Et ensuite, comment trouves-tu notre fille? Demanda la mère avec une sourire intrigué.
-Comment je trouve votre fille? Passable je dirai. Je suis pas attiré par elle je pense. Et pour être un bon mari pour votre fille, je crains que je préfèrerai être marié à mon ami Igor. Si vous me permettez, je vais rejoindre mes amis maintenant." Disais-je naïvement en ne sachant pas à quel point mes paroles auraient des conséquences sur ma vie.
Viktor repartis en direction de mon groupe d'amis quand sa mère lui attrapa le bras pour que lui forcer le regard "Je suis désolé de ce qu'il va se passer après ce que tu viens de dire mais je ne pourrais rien faire pour toi et ce qui va suivre." Elle avait l'air... angoissée, triste, mais pas du tout en colère ou quoi que ce soit. Par contre, le père de Viktor avait l'air... fou de rage. Et Viktor dans tout ça? Il ne comprenait absolument pas ce qu'il avait fait de mal. Il avait beau être un enfant très bien éduqué, il restait quelque peu... naïf, sur certaines questions. Il passa le reste de la soirée avec ses amis, mais quand il fut de retour chez lui avec ses parents, la soirée se finit... bien plus mal.
Dès que Viktor et ses parents arrivèrent chez eux, la soirée tourna assez vite au cauchemar. Son père le prit par le bras et le jeta violemment dans le débarras de la maison avant de l'agresser physiquement. Viktor ne s'y attendait pas et n'essaya même pas d'éviter n'importe lequel des coups et des insultes qui pleuvaient sur lui. Il sombra dans ses pensées pendant une durée qui lui semblait être une éternité. Une éternité froide, violente, acerbe, une éternité qui blesse, qui fait saigner, qui fissure les os et qui détruit toute innocence. Quand il sortit de ses pensées, il récupéra toute les forces qu'il pouvait pour jeter son père contre la porte et se lever le plus rapidement possible. Il sentait un liquide moite couler sur sa tempe gauche, sur sa poitrine et son ventre, il sentait toutes ses articulations craquer dans un fracas infernal, il entendait ses os se fissurer sous son propre poids et il sentait le sang de son père qui brûlait comme un feu de forêt. Il avait mal, il avait honte et il sentait pour la première fois de sa vie ce qu'était que la rage de tuer. Cette sensation lui avait été décrite par sa mère mais il n'avait jamais été ni enragé ni énervé envers qui que ce soit, mais le fait d'avoir vu sa mort le frôler avait déclenché une soif de sang maladive, malsaine et violente, cependant son corps était bien trop meurtri pour pouvoir se battre et il se contenta de s'approcher d'un pas déterminé vers son père pour qu'il parte de peur, connaissant la puissance d'un vampire en colère. Viktor tomba de douleur quelques pas plus tard, sa tête s'écrasant en dehors de la salle et dans le couloir qui menait dans la salle de vie où était sa mère, prise de panique. Il se réveilla quelques heures plus tard, la nuit était toujours présente et le soleil ne peinait toujours pas a se lever. Sa mère était debout devant lui et lui présenta un verre rempli de sang humain "ça vient de mon calice, Alexandra, elle est très heureuse de pouvoir te sauver la vie même si elle devait pour ça se couper pour saigner quelques centilitre de sang" souriait-elle... Il bu le verre et se rendormi, la tête lourde et lui faisant affreusement mal.
Il se réveilla le lendemain, en pleine journée, et il vit sa mère préparer de nombreux bagages avec les affaires de Viktor "Maman, qu'est-ce que tu fais? Demanda faiblement Viktor, encore meurtri par les blessures de la veille
-Je suis désolé Viktor, mais tu dois partir loin de cette ville. Ton père veut clairement de supprimer de cette terre et je ne peux pas le laisser faire, mais te défendre reviendrait à trahir l'Empire de Russie et je ne veux pas que ma famille soit mise dans le problème. Tu sais parler l'italien, l'anglais et le français, tu aimerai aller dans quelle ville? Répondis la mère de Viktor, prise de panique et parlant assez vite pour perdre complètement Viktor
-On part? Je... euh... Venise... non, Rome, allons à Rome. Répondis Viktor complètement perdu et ne sachant pas ce qui l'attendais.
-Bien. Tu hébergera chez une amie pendant quelques jours, je viendrai te voir d'ici là, je te le promets." Affirma la mère de Viktor, en finissant les nombreuses valises de Viktor et appelant deux servant, dont Alexandra, qui emmenèrent les bagages dans une hippomobile avant de d'y porter Viktor. Sa mère arriva quelques minutes après et demanda à Alexandra de les conduire chez son amie. Après une dizaine de minute de route à travers Moscou, Viktor et sa mère arrivèrent chez l'amie en question. Anastasiya fit les présentations avant de donner des instructions à son amie pour Viktor à cause de ses blessures, elle lui donna ses bagages et elle repartit sur le champ.
Presque une semaine se déroula avant que Anastasiya revint avec une lettre et un autre sac, assez gros et l'air lourd. Elle remercia son ami et elle serra dans ses bras Viktor avant de lui parler "Viktor, je suis absolument désolé pour tout ce qui arrive. Je t'ai fais venir une calèche, elle t'emmènera à Rome. Le voyage sera long et tu sera seul, sans moi. J'ai déjà réservé une maison à l'intérieur de Rome. Rome ne sera jamais ton alliée, sache le, mais elle n'est pas en lien avec l'Empire de Russie et personne ne te cherchera là bas. Sache que je t'aime et que je ne t'oublierai jamais mon fils. Pars maintenant. On se retrouvera, je te le promets." Elle ne laissa pas le temps à Viktor de répondre qu'elle le serra dans ses bras et elle l'emmena rapidement dans la calèche et ordonna au conducteur de partir. "Mère, venez avec moi s'il vous plais! Mère? Maman!" Hurla Viktor, paniqué, mais il comprit qu'il était trop tard et qu'il ne reverrait plus ses amis et qu'il ne reverrait plus sa mère avant longtemps.
Le voyage dura de longs jours et était d'un ennui mortel pour Viktor qui était déjà dévasté d'avoir tout perdu à cause de ses propos... stupidement naïf.
-CHAPITRE II : ROME-
A suivre sur le RP ;)
| Questionnaire QUE PENSEZ-VOUS DES LYCANS ─Je n'ai pas vraiment d'avis sur les lycans tant qu'il n'essaye pas de me tuer ou de me manger. Bon, il est vrai que les vampires et les lycans ne sont pas forcément de bons amis, mais je n'ai pas envie de vivre à partir des haines venant des ancêtres de mes propres ancêtres
QUEL EST VOTRE POINT DE VUE A PROPOS DES INFANTS ET DES SANG-MÊLES MAUDITS? ─ J'en suis un... et je sais que ce n'est pas vraiment accepté (et que je risque ma vie rien qu'en marchant vu la haine viscérale envers nous mais bon) mais bon, je fais avec. Et pour les sang-mêlés maudits... je dirai que c'est pas de chance d'avoir une vie aussi complexe rien qu'à cause de notre être... mais tant qu'ils ne sont pas "méchants" avec moi je vois pas pourquoi je devrai l'être.
ÊTES VOUS SATISFAIT(E) DE VOTRE VIE ACTUELLE? ─ Bah ça pourrai être bien mieux si j'avais pas la moitié de la population vampirique et lycane qui ne voulait pas ma mort et si j'avais plus de chances de survie... mais... mais je suis quand même heureux. J'ai, grâce à mes parents, une situation financière stable, je sais me débrouiller avec des armes blanches (ce qui potentiellement pourrai me sauver la vie) et j'ai l'amitié et la protection d'une lycane qui à l'air d'être puissante (même si c'est une dépravée, mais c'est autre chose) et ma vie sentimentale (inexistante quoi) me vas.
SI NON, QUE VOUDRIEZ-VOUS CHANGER? ─ Éventuellement le fait qu'il y ait autant de haine envers les Infants et les sang-mêlés maudits mais sinon ça va pour être honnête, rien à changer.
VOTRE POINT DE VUE SUR LE MONDE CONNU? ─ Ce monde est magnifique mais d'une immensité... je me demande si je pourrai un jour voir ce que propose cette terre... Mais il n'a rien de plus beau que ce monde je pense.
| | Joueur PSEUDO ─ Vaadhum ÂGE ─ 18 piges SEXE ─ Je suis un mec... enfin... je crois O.o LA COULEUR DE TON PYJAMA ─ Pyja-quoi? O.o | |
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