C'est par la mer que la couronne suédoise gagnera sa réputation.

Histoire :

Yngvi Esbjörn Torgnysson est né dans une famille d’illustres marins suédois. Si l’histoire de la Suède est courte pour cause de sa récente création, celle des marins de la région, elle, date de la nuit des temps. Et cette histoire conte en partie celle d’Yngvi, fils d’un Amiral, petit fils d’un Amiral et avant cela arrière petit fils de corsaires. Des nombreuses découvertes faites par ses aïeux,  et des richesses et de la gloire rapportées à la couronne, il en a gardé un grade, celui de Duc.

Embarqué à 15 ans dans la flotte de son père, Yngvi a avant cela appris les coutumes de la cours. Bien que si étant accommodé à l’époque, son esprit aventureux et intrépide lui ont valu nombres de réprimandes de sa mère et nombre de fou rire de la cours de Suède. Il fut cependant bien plus à sa place sur les mers, où il provoquait toujours les railleries des marins lors de ses maladresses. Il ne tarda cependant pas a gagner leur confiance en les accompagnants dans toutes les aventures, toujours avec eux sous le soleil comme dans la tempête. Si son père était placé par l’équipage au rang de légende, Yngvi dés ses 17 ans était considéré comme son digne successeur. Durant 11 ans il écuma les mers, visitant les côtes du Labrador, puis les Antilles pour faire ensuite le tour de l’Amérique du Sud. C’est d’ailleurs durant une escale au Pérou que le père du jeune homme décéda. Pris d’une fièvre inconnu de l’équipage, on amena le capitaine chez une vieille femme que l’on disait sorcière dans le coin. Elle bredouillait dans un espagnole mal connu qu’une seule chose pouvait sauver le commandant. Elle parlait de forces surhumaines, de sang humain et de bêtes féroces. Malgré son incompréhension Yngvi donna son accord. Sauver son père, sauver le capitaine était primordial pour la survie de l’expédition. Une fois l’antidote avalé le corps du commandant commença à révulser, ses yeux sortaient de ses orbites. Tous son corps semblait rejeté le liquide ingéré. Yngvi regardait impuissant et horrifié les dernières forces de son père disparaître. Après des heures de se spectacle inouïe le corps cessa de bouger pour l’éternité. La vieille femme bredouilla que même le diable n’avait pas voulu accordé au saint homme de devenir la bête. Sans comprendre Yngvi et l’équipage rapportèrent la dépouille de leur capitaine à bord du bateau  et firent le nécessaire pour la sépulture. Se jour fut le début d’un douloureux apprentissage des mystères de ce monde, et le jour où Yngvi devint à la fois Duc et Capitaine.

Si la transition de commandement se fit sans heurt, le reste du voyage lui fut moins tranquille. L’inexpérience du jeune suédois ne fut qu’en partie comblé par celle de l’équipage, et la mort mystérieuse de son père poussa Yngvi à chercher des réponses dans l’ensemble du continent. Si les récits de monstres mi-homme mi-bête pullulaient en Amérique latine l’équipage n’en vit aucun. Sa recherche mena le jeune capitaine jusqu’en Afrique où la aussi de nombreuses légendes parlaient d’hommes se cachant du soleil à son zénith, d’hommes et de femmes qui tuaient pour manger leurs victimes. D’être capables de soulever 10 fois leurs poids, de courir aussi vites que des léopards et vivant des siècles durant. Si le nombre de ses rumeurs ne faisaient qu’augmenter au fil de ses voyages, ce n’est qu’en arrivant au Cap, tout nouveau comptoir de la compagnie hollandaise en Afrique que Yngvi vit l’extraordinaire se produire. Un soir, alors qu’il sortait d’une taverne pour rejoindre son bateau après avoir fait fort bonne affaire il tomba sur l’impensable. Une jeune femme à la beauté surnaturelle, probablement hollandaise vu son teint tenait dans sa bouche la gorge d’un homme, inerte. En une fraction de seconde celle-ci sauta sur un toit, avec une légèreté féline malgré le poids de la victime qu’elle enserrait encore. Le temps de crier l’alerte, celle-ci avait disparu et les paroles du jeune suédois ne firent que le décrédibilisé aux yeux des autorités locales.

Si Yngvi retient une chose de cette journée, c’est que les légendes ne sont pas ce qu’elles semblent être, et que le danger venait de bien plus prêt qu’il ne pensait. Il avait fait le tour du monde, chercher ces créatures aux quatre coins de la terre, et il avait fallu que ce soit une européenne, d’un royaume voisin au sien qui lui donna la preuve de ce qu’il soupçonnait. C’est cet événement et la nécessité de revendre en Suède toutes ses marchandises qui le firent revenir au pays. Il devait se rapprocher du roi, pour son bien. Si il ne pouvait pas l’alerter de crainte d’être pris pour un fou, il pourrait au moins le protéger et chercher des preuves irréfutables de ce qu’il croyait.

ÊTES-VOUS AU COURANT DE L'EXISTENCE DES VAMPIRES ET LYCANS? ─ Il a des doute sur l'existence de ces créatures. Malgré avoir vu de nombreuses choses durant ses voyages sa rationalité l’empêche d'y croire.
QUE PENSEZ-VOUS DES LYCANS/VAMPIRES ─ Cela relève des légendes, des récits de voyages arrangés.
QUEL EST VOTRE POINT DE VUE A PROPOS DES INFANTS ET DES SANG-MÊLES MAUDITS?
ÊTES VOUS SATISFAIT(E) DE VOTRE VIE ACTUELLE? ─ A la recherche de nouvelles aventures.
SI NON, QUE VOUDRIEZ-VOUS CHANGER? ─ Être moins dépassé face aux mystères de ce monde.
VOTRE POINT DE VUE SUR LE MONDE CONNU? ─ Il est vaste et pas si connu que ça.